Au micro de Maxime Guény dans l'émission Télé Star Play, vendredi 17 septembre 2021, Lola Dubini est revenue sur un incident qui l'a beaucoup marquée. Alors qu'elle se promenait dans la rue, accompagnée de ses amies, l'humoriste à été victime d'insultes à caractère grossophobe. Un souvenir marquant pour cette dernière qui a partagé les détails de cette mésaventure au chroniqueur de Touche pas à mon poste.
"Récemment, je me suis fait insulter dans la rue jusqu'à faire intervenir les policiers en civil quand même. Je suis sortie. On m'a dit : 'Pour faire Danse avec les stars, il faut maigrir, nin nin'. Des insultes grossophobes dans la rue", a-t-elle expliqué à Maxime Gueny. Une mésaventure dont elle s'en est sortie grâce à l'intervention des forces de police. "Tu as des flics qui ont entendu et qui leur ont filé 135 balles d'amende. Et j'étais avec une de mes copines Miss France, qui ne s'est pas empêchée de leur dire ce qu'elle pensait", a-t-elle ensuite indiqué. Morale de l'histoire : "Ils ont pris 135 par tête parce que ce qu'il faut le savoir, et je ne le savais pas, maintenant il y a une loi en France contre le harcèlement de rue et le sexisme dans la rue. 'Donc si vous croisez des policiers et que vous êtes en train de vous faire insulter ou harceler, n'hésitez pas à les alpaguer'". Et de poursuivre : "Alors bon, d'aucuns diront qu'il y a un préjudice moral, certes, mais déjà 135 balles ça les fait réfléchir."
Sur les réseaux sociaux, Lola Dubini reçoit régulièrement des remarques grossophobes. Ce qui l'encourage parfois à recadrer ses détracteurs. En juin 2020, c'est sur Instagram qu'elle a partagé un coup de gueule en postant une photo d'elle en maillot de bain : "Depuis longtemps cette photo est dans mon tel mais je n'osais pas. Alors que dessus j'adore mon soutif et mes cheveux. Donc je la pose là parce que je vous dit depuis que je suis sur Insta que l'on doit se foutre de l'image que l'on nous donne, de comment les autres nous voient où nous définissent." Et de conclure : "Ce qui compte c'est nous avec nous. Ce que l'on dit aux autres est parfois plus simple à dire qu'à faire. Et en ce moment je change et mon corps change tout le temps mais ce n'est pas parce que lui change que je dois moins vivre. So : Here I Am ["Alors : me voilà", NDLR], en soutchif et heureuse."