Marcel Desailly visite les stades qui accueilleront les matches de la Coupe du Monde de football 2010, à Johannesburg en Afrique du Sud.© Abaca
La suite après la publicité
Comme plusieurs millions de Français, Marcel Desailly compte désormais les jours qui le séparent du lancement de la Coupe du Monde FIFA 2010, dont le coup d'envoi sera donné le 11 juin prochain en Afrique du Sud.
64 matches, des dizaines d'heures de suspense en perspective... et les préparatifs qui s'activent dans le pays qui accueille les quelque 32 nations sélectionnées pour concourir à cet incontournable rendez-vous qui fait vibrer la planète tous les quatre ans.
Passionné de sport, celui qui fut le capitaine de l'équipe de France de football de 2000 à 2004 a visité peu avant les fêtes de Noël les différents stades de Johannesburg qui accueilleront les matches de la Coupe du Monde jusqu'au 11 juillet, jour fixé pour l'ultime rendez-vous, la finale de la compétition.
Même si sa femme Virginie reste sa première passion, c'est armé de son casque de chantier (sécurité oblige !) que Marcel Desailly s'est offert, en guise de cadeau de Noël anticipé, un délicieux avant-goût de ce que sera cet événement planétaire.
Et nous, on n'a pas le droit de voir ?
JO
64 matches, des dizaines d'heures de suspense en perspective... et les préparatifs qui s'activent dans le pays qui accueille les quelque 32 nations sélectionnées pour concourir à cet incontournable rendez-vous qui fait vibrer la planète tous les quatre ans.
Passionné de sport, celui qui fut le capitaine de l'équipe de France de football de 2000 à 2004 a visité peu avant les fêtes de Noël les différents stades de Johannesburg qui accueilleront les matches de la Coupe du Monde jusqu'au 11 juillet, jour fixé pour l'ultime rendez-vous, la finale de la compétition.
Même si sa femme Virginie reste sa première passion, c'est armé de son casque de chantier (sécurité oblige !) que Marcel Desailly s'est offert, en guise de cadeau de Noël anticipé, un délicieux avant-goût de ce que sera cet événement planétaire.
Et nous, on n'a pas le droit de voir ?
JO