Le 22 septembre est un jour de fête pour la princesse Märtha Louise de Norvège puisqu'elle fête aujourd'hui ses 49 ans. Mardi, la fille du roi Harald V et de la reine Sonja a reçu le plus beau des cadeaux : ses retrouvailles avec son petit ami, le chaman américain Shaman Durek, après six mois de séparation forcée à cause de la pandémie de coronavirus. Un heureux événement qu'elle n'a pas manqué de partager avec ses abonnés Instagram.
"J'adore les surprises. Et la meilleure des surprises a été toi, débarquant pour mon anniversaire, après six longs mois séparés, a écrit la princesse sur le réseau social. Cela a été si difficile, mais incroyable de voir comment, même sans se voir, nous avons renforcé notre connexion et notre compréhension l'un de l'autre. L'une des principales choses que cette période de coronavirus m'a montrées est que nous sommes des humains plus forts que nous le pensons et que nous pouvons tout surmonter, mais c'est mieux quand nos êtres chers sont proches."
Une jolie déclaration d'amour à laquelle Shaman Durek a répondu sur son propre compte Instagram : "Je suis si heureux de te voir. Cela a été vraiment difficile d'être loin de la femme que j'aime. Il y a des moments où j'ai lutté émotionnellement, mais mon amour pour toi est à toute épreuve et je suis béni de Dieu d'être avec mon ange pour son anniversaire. Je t'aime pour toujours. Joyeux anniversaire bébé."
Voilà maintenant plus d'un an que le couple a officialisé son idylle. Ces derniers mois ont été rudes pour Märtha Louise de Norvège puisqu'en plus d'être séparée physiquement de son compagnon, elle a dû faire le deuil de son ex-mari, l'écrivain norvégien Ari Behn, qui s'est suicidé le 25 décembre 2019. Cela faisait près de trois ans que les parents de Maud, Leah et Emma (17, 15 et 12 ans) étaient séparés, mais cette disparition a été une épreuve particulièrement douloureuse pour la princesse.
"Dans notre petite famille, nous avons traversé - et traversons toujours - une période difficile après la mort d'Ari. La plus dure que nous ayons traversée, avait-elle confié en mars dernier. Depuis Noël et même avant que le Covid-19 ne soit une réalité du monde, nous étions dans les sombres vagues de tristesse et j'ai dû trouver un point d'ancrage dans le rôle de parent pour trois enfants fragiles, beaux, vulnérables et gentils qui avaient besoin de moi 24 heures sur 24."