Meghan Markle : Cette partie de son corps qu'elle déteste et censure en photo

La duchesse de Sussex serait-elle complexée par... ses pieds ? C'est en tout cas ce que laisse entendre le témoignage d'un cameraman qui a eu l'occasion de travailler avec Meghan Markle, avant sa rencontre avec le prince Harry en 2016, lorsqu'elle était encore actrice. Selon son témoignage, rapporté par le Daily Mail ce 4 mai 2020, l'Américaine interdisait toute photo ou plan de ses pieds.

Ce photographe, qui souhaite rester anonyme, n'a pas gardé une image très reluisante de Meghan Markle, qui aurait joué les divas sur le plateau : "Les gens m'ont dit 'Tiens-toi prêt parce que c'est quelque chose'. Ils avaient l'habitude de l'appeler 'la princesse'. Quand je l'ai vue, dès qu'elle est arrivée, je ne savais pas qui elle était, mais elle jouait les divas. C'était son attitude, sa façon de parler aux gens, les règles (...). Elle est arrivée avec une casquette, en cachant son visage et en baissant la tête (...). C'était une sorte de caricature de quelqu'un jouant la superstar." L'actrice de la série Suits aurait imposé toutes sortes de choses : prévoir du champagne de qualité, certaines fleurs sur le plateau, ne pas la prendre en photo lorsqu'elle se fait maquiller... et surtout, éviter ses pieds.

"Un des membres de mon équipe est le mec le plus gentil et il a été traumatisé à la fin parce qu'elle était trop méchante. Il m'a dit qu'à un moment, il a commencé à filmer ses pieds, juste pour avoir des plans supplémentaires, et je ne me souviens pas si on m'avait prévenu ou pas, mais j'ai compris qu'elle détestait ses pieds, a raconté le cameraman. Quand il a fait ça, ils l'ont tous regardé du genre 'Que est-ce que tu fous ?' et ils lui ont dit 'C'est tout pour toi, aujourd'hui'."

Pourquoi Meghan Markle était-elle si stricte à propos de ses pieds ? Peut-être à cause des hallux valgus qu'elle semble avoir ensuite fait retirer ? Lors d'un voyage officiel en Nouvelle-Zélande avec le prince Harry à l'automne 2018, la duchesse avait ôté ses chaussures le temps d'une visite à Rotorua. Elle avait ainsi laissé voir des cicatrices laissant supposer une opération afin de corriger cette déformation progressive de l'articulation du gros orteil qui, au-delà d'être une éventuelle gêne esthétique, peut s'avérer douloureuse, surtout lorsque l'on passe son temps en talons de 10 cm !