![Morrissey en concert à Glastonbury, le 24 juin 2011.](https://static1.purepeople.com/articles/8/14/52/78/@/1550262-morrissey-en-concert-agrave-580x0-1.jpg)
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Voilà une affaire qui risque fortement d'entacher la réputation de Morrissey. L'ancien leader des Smiths, devenu au fil des ans un véritable Dieu vivant pour bon nombre d'inconditionnels, se voit en effet mêlé à une plainte pas très reluisante. À l'origine de cette plainte, son ex-garde du corps, un certain Bradley Steyn, qui ne manquera certainement pas de s'attirer les foudres du célèbre chanteur.
Comme le rapporte le site TMZ, Bradley Steyn assure en effet qu'il avait d'abord été embauché pour assurer la sécurité de la star lors de ses concerts souvent mouvementés (en mai dernier, Morrissey avait été sévèrement chahuté sur scène lors d'un show à San José en Californie). Mais que son célèbre employeur aurait fini par le forcer à accomplir de sombres desseins. Car s'il se déclare proche de ses fans, le fait est que Morrissey a pris en désamour l'un de ses plus fidèles et insistants admirateurs et d'après Bradley Steyn, le chanteur anglais aurait bien eu l'intention de passer à la vitesse supérieure pour "éliminer" ce fan en question.
Selon les éléments retranscrits dans la plainte, Morrissey aurait en effet cherché à savoir de quelle façon cet admirateur, à la tête du site Morrissey-solo.com et qu'il hait au plus haut point, pourrait bien finir par être physiquement blessé. Steyn assure ainsi que le célèbre Britannique de 55 ans, connu pour son côté à la fois ténébreux et mystique, aurait ouvertement demandé par quel moyen il pouvait se "débarrasser" de la possible victime, insistant sur une façon de retrouver son adresse. Bref, Bradley Steyn dépeint le portrait d'un Morrissey machiavélique aux plans diaboliques, bien loin de l'image de l'icône esseulée et en mal d'amour. Contacté par TMZ, le clan du chanteur n'a pour l'instant pas réagi aux accusations. Mais parions que dans les prochains jours, Morrissey ne manquera pas de donner sa version des faits. Car comme on sait, qui ne dit mot consent...