Alors que le gouvernement a décidé de reconfiner le Sud de la France et Dunkerque et que Jean Castex s'apprêterait à annoncer de "nouvelles mesures fortes" pour les Français, le Youtubeur Ramous a décidé de prendre la parole sur les réseaux sociaux, suite au suicide de son amie. Bouleversé, il explique : "Mon meilleur ami a sa soeur, la plus jeune, qui fait des études supérieures (...) Elle a mis toutes ses économies, de la famille, de tout le monde, pour ses études supérieures. (...) Cette jeune fille elle était brillante, elle avait toute la vie devant elle, elle avait tout pour réussir. Mais qu'est ce qu'il s'est passé ? Elle a été laissée à l'abandon. Ce matin, elle a été retrouvée pendue dans son appartement d'étudiant parce qu'elle n'avait plus d'espoir et elle a laissé une lettre en disant qu'elle préférait mourir comme ça, qu'elle en avait marre, qu'elle ne supportait plus cette vie et qu'elle n'en voyait plus la fin du tunnel."
Effaré par les mesures du gouvernement, il rappelle également le taux de létalité très bas de la Covid-19 et interpelle violemment le Président de la République. "Donc monsieur le Président. Vous avez tué cette jeune fille. Parce que le Covid il tue certes mais on en a ras-le-bol. Et on est des millions à en avoir ras-le-bol. Ça suffit maintenant. Ça suffit de nous prendre en otage avec ce Covid. C'est 0,05% de la population qui meurt de ce Covid ! Il y a des jeunes qui souffrent aujourd'hui ! Il y a des milliers de jeunes qui se suicident ! Il y a des jeunes, des restaurateurs qui souffrent énormément !"
Les larmes aux yeux, il poursuit : "Vous reconfinez le Sud de la France, vous faites du mal aux entreprises, aux entrepreneurs, aux jeunes, à tout le monde. Et on en a ras-le-bol ! Ça fait un an que vous nous avez promis de trouver une solution. Vous n'avez rien trouvé. Quand on a pas la solution, c'est que c'est vous le problème. Alors prenez vos cliques et vos claques et barrez-vous maintenant !"
Une vidéo déjà vue par près de 600 000 internautes et dont le titre est : "Emmanuel Macron, vous avez tué mon amie".