Rodrigo Alves ne s'arrêtera donc jamais. Le Ken humain, accro au bistouri depuis dix ans, avait pourtant promis de s'arrêter après sa 47e opération de chirurgie esthétique, mais il a eu tôt fait de se raviser. Selon les informations du DailyMail, l'homme de 33 ans est de nouveau passé sur le billard. Le Brésilien s'est offert une liposuccion après les fêtes, pour réinjecter la graisse dans son fessier.
"Le sport, ça ne marche pas pour moi parce que j'ai un problème hormonal et mon corps ne fabrique pas de muscle. Donc j'ai fait un régime extrême, j'ai pris 12 kilos et ingurgité 3000 calories par jour, j'ai mangé des gâteaux et je me suis gavé à Noël. J'ai rapidement stocké du gras au niveau de mes jambes et le médecin m'a fait une lippo pour ensuite injecter la graisse dans mon fessier", a-t-il expliqué après son opération, réalisée à Marbella où il réside, pour la modique somme de 9000 dollars.
Une broutille pour Rodrigo, qui a déjà claqué près de 430 000 euros en chirurgie esthétique. "Je suis né au Brésil, mais je n'ai pas du tout le cul des Brésiliens, célèbres pour leurs fessiers bombés. Cet été, je présente un concours de maillot à Marbella et je voulais être au top. Je vais porter un tout petit maillot de bain alors il faut que je sois à mon avantage", a-t-il ajouté, prêt à tout pour atteindre ce qui lui semble être "la perfection", quitte à mettre sa santé en danger.
Je ne compte pas m'arrêter. C'est un entretien à vie.
L'an dernier, il a justement été admis aux urgences après avoir remarqué un trou au niveau de son nez. A force de chirurgie, il a développé une grave infection et sa peau commence à se nécroser. Pas de quoi inquiéter le garçon, qui, après une première opération de reconstruction longue de dix heures cet été, a prévu de s'offrir une 9e rhinoplastie en mars prochain pour réparer les dommages causés à son nez.
"Je ne compte pas m'arrêter. C'est un entretien à vie. Si je me laisse aller, je vais commencer à perdre mes cheveux et avoir des rides. C'est impossible de s'arrêter, c'est un effet domino. C'est comme une voiture qu'il faut faire réviser tous les ans. Je vais faire un lifting pour remettre en place mon visage à cause d'une précédente intervention et je dois me refaire faire le nez parce que je ne peux toujours pas respirer", a-t-il conclu. A ce rythme-là, le pauvre Rodrigo Alves risque de ne pas faire long feu.
Coline Chavaroche