Elle a sorti, le 6 novembre dernier Rêvez, osez, créez... et recommencez !, son livre aux éditions Flammarion. Architecte d'intérieur de renom et autodidacte, Sarah Poniatowski mène sa barque. Dans une interview accordée à La Tribune dimanche le 1er décembre 2024, elle parle de son arrivée dans le monde du design d'intérieur. "Avant de me lancer dans l'architecture [d'intérieur], j'ai tenté de devenir actrice avant de comprendre très vite que je n'étais pas faite pour ce métier! Puis j'ai étudié la philo, la psycho...", s'est-elle souvenue. Et de préciser : "Toutes ces expériences me sont utiles aujourd'hui professionnellement. Quand tu fais un chantier pour des clients, tu rentres vraiment dans leur intimité. Il faut savoir leur parler avec psychologie pour mieux connaitre leurs envies."La fille du prince Jean Stanislas Poniatowski, longtemps directeur de Vogue, a vu son quotidien être chamboulé en avril dernier avec le décès de son cher papa.
"Il n'existe pas un regard avec autant de tendresse et d'amour que le tien. Je suis qui je suis grâce à toi. Merci Papa. Il va falloir à présent apprendre à vivre sans... Tristesse infinie. Fais un beau voyage", avait alors écrit Sarah Poniatowski sur Instagram. A La Tribune dimanche, elle a confié à ce sujet : "Je ne pensais pas que ça serait si dur, même s'il n'y a aucune injustice de partir à 88 ans. J'ai ce sentiment de ne pas avoir suffisamment profité de mon papa." Si l'ex de Marc Lavoine ne le crie pas sur tous les toits, elle est issue de la dernière famille royale de Pologne. En effet, la maison Poniatowski est une famille de la noblesse polonaise dont le nom apparaît pour la première fois vers 1446 à Poniatowa. C'est son ancêtre Stanisław August Poniatowski qui fait entrée ce nom un peu plus dans l'histoire en étant élu roi de Pologne et grand-duc de Lituanie en 1764, sous le nom de Stanislas II. Si la maman de trois enfants a profité de son illustre nom ? Elle tient à rétablir une vérité. A nos confrères, la compagne de Roschdy Zem a ainsi déclaré : "Je vous arrête tout de suite. Ce n'est pas parce que tu as un nom que tu as de l'argent. Les gens confondent notoriété et portefeuille. Je ne suis pas héritière. Si j'arrête de bosser demain, je n'ai pas d'argent. J'ai besoin de mon salaire pour vivre."
La maman de Yasmine insiste, elle est très loin de la "vie de princesse" que l'on pourrait lui prêter. Elle a d'ailleurs précisé : "Princesse est juste un titre qui ne change rien à ma façon de vivre. En revanche, ça aurait surement été différent si j'avais vécu en Pologne au XVIIIème siècle". Et de renchérir : "Certes, je suis bien née. J'ai eu une enfance hyper agréable, hyper confortable, avec de beaux voyages, mais j'ai toujours vu mes deux parents travailler. J'ai reçu une éducation assez classique avec des valeurs importantes. Le respect, la tolérance, mais aussi la curiosité de s'intéresser à l'autre, quel que soit son milieu." Reconnaissante, Sarah Poniatowski assure que c'est d'ailleurs grâce à cette éducation qu'elle peut aujourd'hui s'adapter "partout, tout le temps, avec n'importe qui." "Je n'ai pas besoin de l'ultra-luxe. Je prends le métro tous les jours et circule à vélo dans Paris", a-t-elle conclu sur ce point.