Selena Gomez, enivrante princesse, goûte à la folie argentine loin de son Justin

L'emploi du temps de Selena Gomez semble surchargé, et ce n'est pas elle qui va s'en plaindre. Sa carrière a décollé moins rapidement que ses deux comparses Miley Cyrus et Vanessa Hudgens, mais il n'empêche qu'elle devient plus bankable que Demi Lovato, sur qui Disney comptait pourtant davantage avant l'épisode de la désintox. Qu'on se le dise, l'instabilité émotionnelle de sa principale rivale a sonné comme un joli coup de pouce du destin pour Selena !

Entre concerts, tournages, marathon promo et son petit business - on pense par exemple à sa collection de vêtements Dream out loud qui cartonne aux Etats-Unis -, c'est à se demander comment la girlfriend de Justin Bieber parvient à maintenir en vie son couple.

Cette semaine, par exemple, la Miss donnait un concert à Buenos Aires afin de présenter à son public local les tubes qui composent son dernier album When the sun goes down, sorti à l'été dernier. Pour se détendre, à quelques heures de sa montée sur scène, elle s'est accordé une petite balade dans les rues de la ville, au cours de laquelle elle a goûté une délicieuse glace artisanale. Et sa communauté de fans, en Argentine, est si abondante qu'il fut bien compliqué pour la jolie brune de se frayer un chemin alors qu'elle tentait de s'enregistrer à l'aéroport de Buenos Aires. Les gardes du corps ont dû montrer les crocs pour défendre la starlette.

Selena fourmille également de projets sur grand écran. A commencer par Spring Breakers, dont le tournage commencera dans les prochaines semaines. Dans ce film, elle prendra part à un groupe de jeunes lycéennes qui braquent un fast-food pour se payer leurs vacances, avant d'être arrêtées et mises derrière les barreaux. Un dealer obtiendra leur libération mais les entraînera alors dans un engrenage qui pourrait bien causer leur perte...

Mais ce n'est pas tout : elle aurait, selon MTV, signé pour remplacer Miley Cyrus en tant que doublure du personnage de Mavis dans le film d'animation Hotel Transylvania... De quoi ajouter une nouvelle corde à son arc !

Joachim Ohnona