Depuis le 15 octobre dernier, les téléspectateurs peuvent suivre les aventures des nouveaux élèves de la Star Academy. Ils sont 13 à avoir investi le château de Dammarie-les-Lys il y a maintenant trois semaines après avoir été présentés au public lors du premier prime sur TF1. Mais pour la professeure de chante Adeline Toniutti, il n'étaient pas tous des étrangers.
En effet, la belle rousse connaissait déjà bien deux candidates, lesquelles ont participé à ses cours de chant avant l'émission. Il y a d'abord Léa comme l'avait reconnu Adeline Toniutti en direct. "Je la connais. Elle était sur les bancs de mon école et je suis très surprise de la retrouver ici aujourd'hui. Un jour, je me rappelle, je t'avais dit de t'accrocher et que tu irais dans les étoiles et là tu es avec toutes les autres étoiles ce soir", avait-elle déclaré. En revanche, elle n'avait pas fait de commentaire concernant Anisha qu'elle a déjà également côtoyée à l'occasion d'une master class. Des liens qui avaient fait dire aux internautes que les deux jeunes chanteuses avaient été pistonnées pour intégrer l'aventure Star Academy.
Face à ces allégations, Adeline Toniutti a réagi lors d'une interview pour Gala parue ce mercredi 9 novembre, démentant tout favoritisme. "Léa était l'une de mes élèves à Calyp (Centre d'Art Lyrique de Paris, ndlr). (...) Quant à Anisha, nous faisons régulièrement des master class avec des grands noms du métier, elle a participé à l'une d'entre elles. (...) Avec mon staff, on a repéré son talent et on l'a fait venir à la master class. C'est là que je l'ai connue. Quant au casting de Star Academy, Léa a reçu l'avis de casting chez nous, puisqu'elle était étudiante à Calyp, mais elle a passé six mois de casting. Il n'y a pas de piston possible. Même si j'avais envie de pistonner je n'aurais pas pu, il y a trop de monde qui décide", a-t-elle assuré.
Cette idée d'avantager une personne enrage même la professeure à l'histoire personnelle dramatique. Et pour cause, elle en a elle-même fait les frais dans le passé. "Je me permettrais aucun favoritisme parce que j'ai trop souffert de personnes qui étaient pistonnées dans le métier quand je faisais de l'opéra, parce que je trouvais que certaines personnes n'avaient pas le niveau et atterrissaient là. C'était bien pour elles, mais c'était difficile pour moi qui venais de la campagne et ne connaissais personne. Je ne me permettrais pas de faire ça avec les élèves".