Stephen Curry est LA star de la NBA cette saison. Yeux verts, physique loin des monstres physiques de la ligue, sourire charmeur, gâchette redoutable de précision, le meilleur joueur de la saison a porté ses Warriors de Golden State en finale de la prestigieuse ligue. Mais face à la cuteness attitude de sa fille en conférence de presse, Steph Curry a dû s'incliner...
Quarante ans après, les Warriors de Golden States sont en finale NBA. Et ça, ils le doivent en grande partie à leur joueur Stephen Curry, MVP (meilleur joueur de la saison) et homme à tout faire. Malgré un physique quelconque - 191 cm pour 86 kilos - le jeune joueur de 27 ans s'est montré un sniper hors pair, alignant les trois points et les shoots improbables tout au long de la saison. Véritable métronome de son équipe, Steph Curry a porté ses Warriors jusqu'en finale NBA, dégageant une impression de facilité déconcertante sur le parquet...
Mais en conférence de presse ce 27 mai, le MVP s'est fait piquer la vedette par un petit bout de machin d'une dizaine de centimètres à peine, sa fille Riley, deux ans et demi. Et ce n'est pas la première fois que la petite blondinette fait des siennes en conférence de presse. Déjà, après le premier match de la série entre Golden State et Houston, en finale de la conférence ouest, ele demandait à son père de se taire et baillait ostensiblement pour lui faire comprendre qu'elle s'ennuyait...
Visiblement peu au fait des règles à respecter en conférence de presse, Riley a remis ça lors de la conférence de presse du match 5, qui envoyait les Warriors en finale NBA. La petite fille, plus mignonne que tous les chatons que l'on peut trouver sur le web, a une fois de plus perturbé l'interview de Stephen Curry qui tentait de garder son sérieux... Partie de cache-cache, destruction de la feuille de match, Riley aura tout fait, confiant son chewing-gum à un membre de l'organisation ou en entonnant Blessings de Big Sean ft. Drake.
"Elle profite clairement de la situation. Elle est beaucoup trop à l'aise", finira tout de même par lâcher Stephen Curry. Et si c'était elle, Riley, la véritable star de ces finales NBA ?