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19h le dimanche sur France 2, Le villages des médias sur Europe 1, Le Parisien, Le Figaro. Sylvie Vartan se défend de participer à "l'hémorragie médiatique" autour de l'héritage de Johnny Hallyday mais enchaîne malgré tout les interviews.
Face à Laurent Delahousse dimanche 25 février 2018, la chanteuse de 73 ans, arrivée des Etats-Unis le 15 février dernier, a largement critiqué l'organisation de la succession de son premier époux. Jugeant "inimaginable" le reniement de leur fils David, écarté du testament du Taulier tout comme sa petite soeur Laura Smet, Sylvie Vartan a invoqué la thèse selon laquelle le dernier testament de Johnny Hallyday ne serait pas l'oeuvre du chanteur. Mais de qui alors ? L'icône yéyé a su rester prudente en ne visant personne, attendant que la justice fasse la lumière sur ce délicat dossier.
Il faut pourtant rappeler que Johnny Hallyday avait déjà écrit, avant ce testament de juillet 2014 - établi devant un notaire américain à Los Angeles -, des testaments qui stipulaient que ses deux premiers enfants n'hériteraient pas. 2014 était une année flamboyante pour le Taulier - qui n'avait aucun ennui de santé - avec sa tournée Rester vivant et deux albums. Ce n'était donc pas la décision d'un homme affaibli et malade, comme il l'a été durant les derniers mois de sa vie.
Parce que Laeticia Hallyday fait l'objet de multiples attaques depuis la révélation du contenu du testament de son époux, Laurent Delahousse a tenté d'en savoir plus sur les rapports entre la veuve "meurtrie" et Sylvie Vartan. "Je n'ai rien à lui dire honnêtement. J'ai toujours eu des rapports courtois avec elle et je dois dire aujourd'hui que la donne est différente", a répondu brièvement celle qui se produira le 16 mars prochain sur la scène du Grand Rex, à Paris. Même discours, très bien rôdé, dans son interview accordée au Parisien, publiée ce lundi 26 février : "J'ai toujours eu des rapports courtois avec elle. Jusqu'à maintenant, bien sûr, car les choses ont un peu évolué."
Ce changement de position, Sylvie Vartan le justifie par la solidarité naturelle qu'elle doit à son fils. "C'est normal, je suis sa maman. C'est un enfant qui a grandi aussi dans la lumière et c'est difficile d'assumer. Ce n'est pas une question d'argent au fond mais de transmission", a défendu la chanteuse sur le plateau de 19h le dimanche.