Sylvie Vartan a fait une annonce choc il y a quelques jours, la chanteuse iconique de 79 ans fera ses adieux à la scène au Dôme de Paris, les 8, 9 et 10 novembre 2024. A cette occasion, elle a accordé un long entretien au Paris Match du 1er février. Elle évoque sa carrière, Johnny Hallyday, son mari Tony Scotti mais aussi des souvenirs plus douloureux comme ses accidents de voiture.
La chanteuse est revenue sur ces drames. Elle avait eu un premier accident de voiture en 1968, dans lequel elle a perdu sa meilleure amie, Mercedes Calmel Mendès, 22 ans. "C'était un traumatisme terrible même si je n'en ai aucun souvenir précis", raconte Sylvie Vartan.
Deux ans plus tard, la chanteuse a été victime d'un autre accident sur une route verglacée en Bourgogne-Franche-Comté. Alors qu'elle se rendait à un gala avec Johnny Hallyday et trois autres personnes, la voiture que conduisait le Taulier a dérapé dans un virage et a plongé dans un fossé. "Je suis passée à travers le pare-brise et j'ai pensé que j'étais défigurée", se rappelle-t-elle. Opérée, Sylvie Vartan a surtout eu pour joie d'avoir la vie sauve et que "David n'ait pas été dans la voiture". "Dans les moments graves, c'est pour lui que je me suis battue, pas pour ma carrière", continue-t-elle.
L'interprète de La plus belle pour aller danser a ensuite quitté la France avec lui pour se faire une nouvelle fois opérer. Un voyage qui s'est transformé en une belle source d'inspiration puisqu'elle y a découvert les shows à l'américaine et a importé cela en France. Une nouvelle voie donnée à sa carrière qui a été un franc succès.
Si Sylvie Vartan est la maman de David Hallyday, elle a aussi un autre enfant, Darina. Une jeune femme de 26 ans aujourd'hui adoptée à l'âge de 7 mois avec Tony Scotti. Une jeune femme bien dans sa tête et qui soutient sa maman dans sa décision de quitter la scène. Darina a eu la joie d'avoir une maman disponible, ce qui a moins été le cas avec David comme elle le reconnaît dans les colonnes de Paris Match : "C'est vrai que j'ai été frustrée avec David, parce que mes journées étaient sans fin. Alors j'essayais d'être là pour les grandes vacances, au moins un mois sur deux. Et surtout, ma mère prenait mon relais dès que j'étais occupée, elle a été formidable avec mon fils. D'ailleurs, il l'adorait."
Chez les Vartan, les liens familiaux ont toujours été forts et le resteront toujours.