Thaïs Alessandrin (Mon bébé) : Sa grand-mère est une icône, dont elle a hérité la beauté troublante

Dans Mon Bébé, qui est diffusé ce soir sur C8, Thaïs Alessandrin incarne Jade, l'un des trois enfants d'Héloïse, incarnée par Sandrine Kiberlain. Un film réalisé par sa maman Liza Azuelos. Cette dernière est d'ailleurs elle aussi une fille de, puisque sa mère n'est autre que la chanteuse Marie Laforêt, décédée en novembre 2019 d'un cancer des os s'étant généralisé. Cette dernière était dotée d'une beauté époustouflante, dont a hérité sa petite-fille.

La preuve en image, avec cette sublime photo partagée par la jeune actrice sur son compte Instagram, quelques jours à peine après le décès de sa grand-mère. Cette dernière, sur ce cliché en noir et blanc, pose avec Thaïs, qui n'est alors qu'un nourrisson à ce moment-là. Un an plus tard, en juin 2020, la jeune femme qui est aujourd'hui âgée de 25 ans partageait une sublime photo d'elle, sur laquelle on peut, là aussi, constater qu'elle a hérité de la beauté de sa célèbre grand-mère. "Une ressemblance troublante avec Marie", avait d'ailleurs remarqué un internaute en dessous de cette publication, dans l'espace réservé aux commentaires.

J'étais sur le qui-vive

Pour rappel, la maman de Thaïs, qui est donc Liza Azuelos, entretenait des relations compliquées avec sa mère Marie Laforêt. Elle lui reprochait notamment de ne pas s'être montrée suffisamment tendre et aimante à son égard."Je me souviens des plateaux télé écumés avec elle, mais d'aucune sortie au jardin d'enfants (...) C'est comme si j'avais grandi orpheline de parents vivants", avait-elle confié aux journalistes du magazine Gala en 2014. "Elle n'a vécu que deux ans avec mon père (...) Faut dire qu'il s'appelait Judas, alors quel avenir pouvait-il avoir avec une Marie ?", avait ensuite nuancé la réalisatrice des films LOL et Une rencontre.

Cette enfance difficile, elle en parlait déjà auprès du Parisien, en 2019 : "Je n'en avais pas tellement eu, d'enfance. J'ai grandi dans des dortoirs, des pensions. J'étais sur le qui-vive, à protéger mon petit frère des violences quand ça se passait très mal. Et je prenais garde à ce qu'on ne me tabasse pas moi non plus. Je n'ai pas eu d'espace protégé pour être une petite fée bleue en robe de princesse. La seule manière de réparer ça, c'était de refaire le chemin avec mes propres enfants". De terribles confidences de la part de la réalisatrice...