Les Deux Magots, café iconique du 6e arrondissement, au style traditionnel et pittoresque, en aura vu passer des stars, que ce soit Ernest Hemingway, Pablo Picasso ou encore Louis de Funès, venu y tourner Les aventures de Rabbi Jacob dans les années 1970. Ce jeudi 15 décembre 2022, ce sont deux personnalités politiques qui ont fait leur apparition au sein de l'établissement, à savoir Valérie Trierweiler et Roselyne Bachelot.
Entourées des écrivaines Constance Rivière et Jessica Nelson, ainsi que de Carole Fernandez et Catherine Mathivat (présidente des Deux Magots), elles ont été reçues dans le cadre du nouveau rendez-vous de la brasserie : le "Déjeuner Beauvoir". Ainsi, c'est donc autour d'un délicieux repas qu'elles ont partagé un agréable moment de complicité, le sourire aux lèvres. A noter que l'ancienne première dame portait un haut noir à la fois très chic et très sobre, tandis que l'ex-ministre de la Santé et des Sports était vêtue d'une charmante veste de costume rose bonbon.
Elle a bien raison de se venger
Le 7 décembre dernier, les deux femmes étaient déjà réunies, cette-fois ci sur le plateau de RTL. Elles avaient notamment échangé au sujet d'Alain Juppé que Valérie Trierweiler a déjà eu l'occasion d'interviewer et de suivre à Bordeaux, lorsqu'il était encore le Maire de cette ville. "C'est un séducteur hein", avait fait remarquer Roselyne Bachelot à sa collègue, mais celle-ci ne semblait pas du même avis. "Je n'ai pas été séduite Roseline. Vous, je ne sais pas, mais moi non...", avait répondu la journaliste. "Il n'a pas de scooter ?", avait alors lâché Bernard Mabille, afin de clore cette séquence avec humour.
Ici, il faisait bien évidemment allusion à François Hollande qui avait été pris pour cible, à l'époque où il était en couple avec Valérie Trierweiler, par un photographe alors qu'il rejoignait Julie Gayet (avec qui il est désormais marié) avec son scooter. A noter qu'à l'époque, Roselyne Bachelot avait pris la défense de Valérie Trierweiler, qui revenait sur cette trahison dans un livre. "Elle a bien raison de se venger (...) C'est quand même une vengeance, et quand on a un salaud, enfin, quelqu'un qui s'est comporté... dans ce sujet et de cette façon - excusez, le mot a dépassé ma pensée - on se venge", avait-elle déclaré dans une émission sur C8.