Séville aime le flamenco toute l'année, mais, du 14 au 19 janvier, la cité andalouse a clamé encore plus fort sa passion à l'occasion de We love flamenco 2020, huitième édition de cette semaine dédiée aux marques et à la mode de cet univers haut en couleur et en émotion. Dans le public des défilés, on a pu voir notamment Victoria Federica de Marichalar, fille de l'infante Elena d'Espagne et de son ex-mari Jaime de Marichalar. Une jeune socialite de plus en plus en vue depuis qu'elle a fêté sa majorité en 2018 et qu'elle a commencé à fréquenter sentimentalement le jeune torero Gonzalo Caballero.
Agée de 19 ans, Doña Victoria Federica, qui occupe le cinquième rang dans l'ordre de succession au trône espagnol après son frère Felipe (21 ans), avait fait le trajet en train depuis Madrid en compagnie d'un couple d'amis, les jeunes mariés María García de Jaime et Tomás Páramo, influenceurs stars en Espagne. La nièce du roi Felipe VI avait d'ailleurs assisté en octobre dernier à leurs noces assez grandioses (500 invités, dont beaucoup d'autres vedettes du digital).
Quatre mois après avoir revêtu leurs plus beaux atours en ce jour spécial, les trois amis ont admiré et applaudi les créations dévoilées par la marque Notelodigo, le 18 janvier. Victoria Federica, de plus en plus suivie par la presse du coeur ibérique, avait adopté pour l'occasion un look décontracté et bohème, composé notamment d'un pantalon taille haute à l'ourlet effiloché et d'un gilet sans manches long porté sur un chemisier à motif géométrique.
En septembre dernier, alors qu'elle fêtait elle-même ses 19 ans, elle avait fait forte impression à la grande fête organisée à San Sebastian pour la majorité des enfants de Cayetano Martínez de Irujo, habillée d'une somptueuse robe rouge vif créée pour la Maison Victoria par la styliste Vicky Martín Berrocal. Quelques mois plus tôt, en mai, elle faisait sensation, déjà à Séville, choisie pour être la maîtresse de cérémonie du défilé d'attelages anciens, l'un des temps forts de l'incontournable feria dans les célèbres arènes sévillanes de La Maestranza. On n'a sans doute pas fini d'entendre parler d'elle...