Juste après la matinale de Romain Desarbres, Pascal Praud a orchestré une nouvelle édition de L'heure des pros le mercredi 29 mai 2024 sur CNews. L'émission a été ponctuée d'un échange très tendu avec l'un de ses chroniqueurs.
Pour décrypter les sujets qui agitaient l'actualité, l'animateur, qui a été obligé d'interrompre en urgence une interview de Marion Maréchal, a pu compter sur la présence de Dominique Jamet. L'ambiance est devenue explosive entre eux au moment de la diffusion d'un hommage de Nicolas Sarkozy à Valéry Giscard d'Estaing.
"C'est très émouvant d'entendre l'homme du 'casse-toi pauvre con' rendre hommage à Giscard d'Estaing", a commenté le chroniqueur de l'émission où Pascal Praud a fondu en larmes. Une remarque qui a fait bondir l'animateur. "Franchement, c'est minable ! Je ne peux pas vous dire autre chose... C'est ce que je pense : c'est minable !", a-t-il lâché à Dominique Jamet tout en ne cachant pas son exaspération aux téléspectateurs.
"Eh bah d'accord, je m'en vais ! Si je suis minable...", lui a répliqué le chroniqueur. Pascal Praud ne s'en est pas laissé démonter. "C'est minable ! Ce que vous avez dit là, je trouve que c'est minable !", a-t-il insisté avant que Dominique Jamet ne l'interrompe : "C'est un avis que je trouve désobligeant... Ce n'est pas minable cette histoire ! Sarkozy est un président agité...".
"Ça me fait rire de voir Nicolas Sarkozy donner des leçons d'histoire, de tenue, de dignité...", a ajouté le chroniqueur de CNews. "Je trouve ça minable ce que vous avez dit !", lui a rétorqué Pascal Praud avant de lancer : "Eh bah au revoir, merci !". L'animateur a ensuite lancé une page de publicité et au retour de celle-ci, Dominique Jamet avait disparu du plateau. Et il n'y est pas revenu d'ici à la fin de l'émission...
Une situation que Pascal Praud a tenu à clarifier auprès de ses fidèles téléspectateurs. "Dominique Jamet est parti... Je lui avais demandé de revenir dans notre émission, ça faisait quelques années qu'il s'était arrêté de faire de la télévision. Bon, il s'est vexé... Je ne lui ai pas dit qu'il était minable ! J'ai dit : 'C'est minable de réduire Nicolas Sarkozy à cette phrase-là...'. Après la séquence qu'on avait vue, ça ne me paraissait pas opportun. Ce n'était pas le ton de cette séquence-là...", a-t-il regretté.