William Sheller fait partie des auteurs-compositeurs les plus talentueux de sa génération. À 77 ans, le natif du 17e arrondissement de Paris a de très nombreux tubes à son actif. Du Carnet à spirale en passant par Un homme heureux et Dans un vieux rock 'n' roll, il est rapidement devenu une star de la chanson française dans les années 70. Malheureusement pour lui, sa vie a été émaillée de nombreux problèmes, et ce, dès son enfance. Kidnappé par sa propre mère, l'enfance du chanteur a été plutôt sombre. "Elle m'a kidnappé, a envoyé ma grand-mère me déclarer sous le nom de père inconnu. La sal*pe ! J'étais son enfant à elle toute seule. Une lionne, une tigresse, elle faisait du chantage. Mon Dieu, quelle bonne femme", racontait-il lors de son passage dans l'émission Le Divan, présentée en 2016 par Marc-Olivier Fogiel.
Ce ne sont pas les seuls problèmes que William Sheller a connus dans sa vie, lui qui s'est confié sur son usage excessif des drogues. Entre acide, pétard, coke, ecstasy, les confidences du chanteur sont particulièrement cash sur sa consommation. "On prenait de l'acide ou on allumait un pétard, on mettait des cartons sur les vitres au cas où on sortirait de notre corps, le tout éclairé par une lumière rouge et on écoutait Ravi Shankar", s'était-il remémoré dans une interview accordée à Paris Match en 2021. Si certains pensaient peut-être que tout ceci était de l'histoire ancienne, il semblerait bien que l'artiste continue d'explorer le monde des drogues.
D'après un post Facebook du chanteur, repéré par France Dimanche, ce dernier a fait une confession pour le moins surprenante à ses fans. Dans un message, il aurait avoué s'être mis à l'opium. "Je soigne ma tendinite cervico-brachiale avec de l'opium et de la cortisone à cause de trop de temps devant l'ordinateur. En cause : la souris", aurait-il expliqué. Des informations confirmées par nos confrères, qui expliquent donc que William Sheller en fait un usage thérapeutique. "J'ai comme un sentiment de bonheur flottant", aurait-il ajouté.