Comme chaque été, le mercato du Paris Saint-Germain ne ressemble à aucun autre. Le club de la capitale espérait une intersaison plus calme, mais la volonté de Kylian Mbappé de ne pas activer l'année supplémentaire de son contrat a tout remis en cause. Désormais, les dirigeants sont en guerre ouverte contre le champion du monde, qui n'a pas été autorisé à s'envoler pour le Japon avec le reste de l'équipe. Une situation ubuesque tant l'attaquant de 24 ans a pris d'importance au sein de son équipe et on imagine mal une issue favorable dans cette histoire.
Alors que le footballeur se montre très discret depuis le début de cette histoire, quitte à surjouer le rôle du joueur parfait en s'arrêtant désormais pour signer des autographes aux supporters, d'autres n'hésitent pas à donner leur avis. C'est le cas de Daniel Riolo, le célèbre journaliste de RMC, qui a donné son point de vue sur cet imbroglio et de manière générale sur le club et les dernières informations parues dans la presse. "Franchement le coup de force, l'institution forte et maintenant on rigole plus, une nouvelle ère tout ça !", ironise le compagnon de Géraldine Maillet, avant de s'en prendre violemment au club de la capitale : "C'est un bordel sans nom. On sait plus qui fait quoi, qui recrute ! A part une démission de Luis Enrique, il peut se passer de quoi encore pour accentuer le ridicule ?"
En plus de la gestion du cas Kylian Mbappé, le journaliste de 53 ans évoque également la nouvelle politique du PSG, qui désire faire venir des joueurs nés en France et en Île-de-France de préférence, à l'image de Randal Kolo Muani. "Ah... On apprend que le 31 juillet un nouveau projet voit le jour au PSG... projet IDF... projet IDF l'été où on dégage le plus grand joueur IDF (Kylian Mbappé, ndlr) de l'histoire, c'est cocasse...", s'insurge Daniel Riolo, avant de finir par s'en prendre au président du club parisien, Nasser al-Khelaïfi : "Enfin, c'est Nasser quoi..."
Visiblement très remonté contre la direction du club champion de France en titre, Daniel Riolo n'a pas mâché ses mots concernant la gestion d'un mercato, une nouvelle fois très agité.