Ils ont formé un duo emblématique de télévision. Mais il faut croire que malgré les nombreux moments de rigolade, dans Coucou c'est nous ! comme dans Ciel, mon mardi !, Christophe Dechavanne et Patrice Carmouze ne se disaient pas tout. Le binôme s'est retrouvé dans un épisode du podcast Cherche copains et a évoqué quelques souvenirs... mais aussi certaines choses passées à la trappe à l'époque.
Je déteste parler de ces trucs...
En tant que maître de cérémonie, Christophe Dechavanne - qui a récemment révélé être un coeur à prendre - a effectivement demandé à son ancien collègue s'il avait fait des choses dans son dos sans qu'il le sache, notamment s'il avait couché avec quelqu'un de leur entourage professionnel. "Ouais, c'était une connerie d'ailleurs, a répondu Patrice Carmouze avant de s'esquiver. Je déteste parler de ces trucs... c'était pas... je suis assez secret." En creusant le sujet, son hôte n'aura pas obtenu beaucoup d'informations. Si ce n'est qu'il s'agit d'une demoiselle ayant fait partie de l'équipe de Coyote (société de production de Christophe Dechavanne).
Papa de la ravissante Ninon, Christophe Dechavanne a fondé sa société de production en 1989 avec Fabrice Bonanno. D'abord nommé Pro C.D, l'organisme a finalement été rebaptisé Coyote. C'est à l'aide de cette structure que l'animateur produit tous ses programmes, notamment Une famille en or mais aussi Bienvenue chez nous ou Combien ça coûte ?, présentée par Jean-Pierre Pernaut. Quant à Patrice Carmouze, si on le voit moins à la télévision, il n'a pas lâché, pour autant, sa passion pour le petit écran.
Patrice Carmouze a récemment travaillé sur un documentaire. Il anime également, depuis 2018, une animation intitulée PAF - Patrice Carmouze and Friends, sur TV78. "C'est la télévision des Yvelines qu'on regarde sur Internet, explique-t-il. C'est une émission hebdo, qui est pas mal. Ce sont des éclairages sur l'actualité. La dernière c'était sur les difficultés que vous allez rencontrer, les entreprises et les collectivités locales, dans les mois qui viennent à cause du prix de l'énergie. J'avais un sénateur, un maire, une économiste, un mec du MEDEF. Je pense que les télés locales peuvent être un facteur de la démocratie. Elles reflètent ce que vivent les gens."
Retrouvez l'interview de Patrice Carmouze dans le podcast "Cherche copains" de Christophe Dechavanne.