La Star Academy 2024 n'a pas encore commencé mais l'émission est déjà sur toutes les lèvres. Et en attendant le lancement, le 12 octobre prochain, qui de mieux pour en parler que Nikos Aliagas, qui est aux commandes du programme depuis 2001. Invité dans Bonjour !, ce jeudi 10 octobre 2024, il a notamment évoqué la première saison qui était un "fiasco".
Les téléspectateurs de TF1 ne sont pas les seuls à avoir hâte de découvrir la saison 12 de la Star Academy. Le présentateur de 55 ans est aussi très impatient comme il l'a confié à Bruce Toussaint : "Je le suis, car ce n'est jamais la même histoire. Même après tant d'années." Et il ne craint pas que l'émission ne connaisse pas autant de succès que la saison passée : "On a tous les ingrédients, on sait comment ça marche. Maintenant il faut un peu de chance, il faut beaucoup de travail et il faut qu'on s'adapte, semaine après semaine, à l'ère du temps, à ce que les gens veulent aussi et à notre matière première qui est la musique."
Nikos Aliagas s'est ensuite remémoré sa soirée du 20 octobre 2001. Ce jour-là, il faisait ses premiers pas sur le plateau de la Star Academy. Et "c'était un fiasco" a-t-il assuré. Après avoir découvert un peu gêné des images de l'époque, dans lesquelles il répondait aux questions de Claire Chazal, il a déclaré : "Quand je suis arrivé chez TF1, j'étais journaliste la veille. On m'a dit : 'Il faut que tu dises que c'est exceptionnel, il faut que tu y ailles.' (...) J'étais impressionné en plus. Il ne faut pas oublier que pour moi, des personnalités comme Claire Chazal, Arthur et d'autres, c'était des mythes. Je voulais essayer de montrer que je savais faire. On voit que j'ai un truc, mais il a fallu le cultiver, apprendre, ne garder que l'essentiel."
Au final, la Star Academy a changé sa vie et lui a ouvert de nombreuses portes au sein du groupe. On lui a notamment confié les rênes de Ca donne envie sur LCI en 2004, Celebrity Dancing en 2005, 50 Minutes Inside à partir de 2007, les NRJ Music Awards à partir de 2009 ou encore The Voice depuis 2012. Aujourd'hui, c'est lui qui doit impressionner ceux qui se lancent dans le métier.