Très présente dans les médias en raison du lancement de sa deuxième série de podcasts intitulée "Confessions of a Female Founder" (Confessions d'une femme entrepreneuse), Meghan Markle s'entretient avec des amies et des femmes qui ont créé leurs propres entreprises et marques, comme elle avec As Ever, sa marque de produits d'arts de la table accompagnée de la série With Love, Meghan. Les critiques n'épargnent pas la duchesse de Sussex âgée de 43 ans dès la première écoute, estimant qu'elle n'offrait "aucune substance" bien qu'elle ait atteint le top 19 de Spotify.
L'un d'eux va même plus loin. Mark Borkowski, spécialiste de la famille royale, a disséqué le podcast en affirmant qu'il s'agissait d'une tentative de rester coûte que coûte dans la lumière. Il a critiqué la duchesse en disant qu'elle copiait Donald Trump : "On pourrait dire que c'est un succès majeur parce que, vous savez, cela la maintient dans cette sorte de regard public et maintient les médias mondiaux obsédés par son histoire. Qu'il s'agisse du président des États-Unis ou de Meghan Markle, tout n'est qu'une question de bruit aujourd'hui."
Cet expert estime que la maman d'Archie et Lilibet n'a toutefois pas le talent du président américain : "Toute grande personnalité peut générer un énorme suivi Instagram. Mais comment cesser d'être ennuyeux ? Qu'a dit Trump ? Tout le monde a besoin d'un peu de folie. Le problème est de rester non seulement au sommet, mais aussi célèbre et de réussir à gérer cette célébrité dans un monde extrêmement cruel et critique." Une comparaison dont l'héroïne de Suits se serait volontiers passé… Toutefois, si elle semblait plus calibrée pour être "team" démocrate et donc Kamala Harris, le duc et la duchesse de Sussex se sont tenus "délibérément" à l'écart des élections américaines du début d'année, selon le Telegraph. Comme Meghan Markle cherchait à créer sa propre entreprise pour financer le train de vie du couple, cela expliquerait leur hésitation à s'exprimer haut et fort et à participer aux campagnes des candidats à l'élection présidentielle. Il est également possible que le parti démocrate ne voulait pas risquer de perdre des voix en raison de l'impopularité des Sussex dans certaines régions des États-Unis.


Cette série de podcasts n'est pas le premier coup d'essai de Meghan Markle. Elle avait signé déjà Archetypes par le passé mais si le démarrage a été un succès sur Spotify, les audiences ont fortement diminué. Avec ses récents projets, elle est accusée de faire la promotion de choses vides et ennuyeuses comme la vente de confiture sous sa nouvelle marque As Ever. Des produits qui s'arrachent toutefois, certains ayant même fini en rupture de stock.
De son côté, le prince Harry vaque à ses occupations. S'il est apparu main dans la main avec Meghan pour les Invictus Games, le frère de William était en solo à Londres pour son procès pour défendre son droit à une protection policière lorsqu'il est sur les terres britanniques. Puis il s'est rendu dans un autre pays européen, l'Ukraine, pour rejoindre Lviv. Le prince s’est en effet rendu au Superhumans Center afin de rencontrer les personnes affectées par la guerre. De ce voyage qu'on imagine difficile et fort en émotion, il a rapporté une brioche très particulière à sa progéniture. Un cadeau que Meghan a filmé elle-même et qui a fait réagir la ministre de l'économie ukrainienne : "Toute l’équipe est en larmes parce qu’une pâtisserie faite par des grands-mères de la région de Soumy, à partir de farine provenant de champs déminés, est désormais sur la table de Meghan Markle, du prince Harry et de leur famille." Une émotion sincère et bienvenue pour le couple Sussex, peu ménagé par les médias.