Ce mercredi 27 septembre, dans PAF, Jean-Pascal Lacoste a raconté à Pascale de La Tour du Pin le cambriolage dont il a déjà été victime. "Je me suis fait cambrioler pendant que je dormais chez moi. Je me suis réveillé le matin, je n'avais plus rien. Ils ont gazé la VMC (Ventilation Mécanique Contrôlée), j'étais tout seul chez moi, c'était un peu après la Star Ac'. Les ordinateurs portables, la voiture...Il ne me restait plus rien."
Le papa d'Ainhoa a ensuite précisé qu'il n'a pas entendu un seul "bruit". Il en est alors venu à la conclusion suivante : "Ils auraient pu m'égorger et faire ce qu'ils voulaient, j'étais dans mon lit...Et c'est cela qui nous fait le plus peur. On nous vole, on est assuré ! Mais on se dit : 'et si on avait voulu me faire la peau...C'est terrible !" Une "grosse frayeur" donc pour le chroniqueur, comme l'a constatée la journaliste.
Un témoignage suivi d'un autre, celui d'Isabelle Morini-Bosc. La chroniqueuse a elle aussi été cambriolée, tombant alors nez-à-nez avec l'auteur du délit, avant que celui-ci ne se "casse les jambes" en tentant de s'échapper. Mario Barravecchia, l'invité du jour dans PAF (il est venu parler de son ouvrage "Mon père, ma bataille" dans lequel il revient sur la maladie de charcot qui a eu raison de son père, ndlr), a lui aussi révélé avoir été cambriolé. Un délit qui est visiblement plus courant que ce que l'on pourrait penser...
Tout va bien
Mais si un tel sujet a été abordé par Pascale de la Tour du Pin, c'est parce qu'elle-même et son équipe venaient de revenir sur le cambriolage très violent dont a été victime l'animateur Bruno Guillon la nuit dernière. Il aurait été séquestré avec sa femme et leur fils de 14 ans par les malfaiteurs et menacé à l'aide d'une arme de poing et d'un marteau. D'où la déclaration de Jean-Paul Lacoste, qui a insisté sur les proportions très graves qu'un cambriolage peut prendre.
Précisons que Bruno Guillon était tout naturellement absent pour la matinale sur Fun Radio ce mercredi matin. Mais heureusement, sa collègue Christina Guilloton a donné des nouvelles rassurantes au micro de la station : "Bruno, qu'on embrasse, sera de retour demain. Tout va bien, soyez rassurés".