En compagnie de Christophe Dechavanne, Paul de Saint Sernin et Philippe Caverivière, Léa Salamé a orchestré une nouvelle édition de Quelle époque ! le samedi 5 octobre 2024 en deuxième partie de soirée sur France 2.
Comme à l'accoutumée, l'animatrice, qui a été séparée de son compagnon Raphaël Glucksmann, a accueilli de nombreux invités. Parmi eux : Valérie Trierweiler. Cette dernière est venue présenter C'est pour une amie, livre qu'elle a écrit avec Constance Vergara. Lors du "Photocall", l'ancienne première dame s'est livrée à une sortie qui a laissé sans voix Léa Salamé.
La présentatrice l'a invité à dévoiler la question qu'elle poserait à une série de personnalités. Après Emmanuel Macron, Michel Barnier ou encore Marine Le Pen, Valérie Trierweiler a fait face à une photo de François Hollande, avec qui elle a été en couple entre 2005 et 2014. "Ah je ne pensais pas que vous oseriez !", a-t-elle immédiatement réagi en s'adressant à Léa Salamé.
"C'est mal me connaître !", a répliqué, amusée, l'animatrice. Son invitée ne s'est pas laissée démonter et a posé une question à François Hollande. En amont, elle a fait référence à une séquence survenue un peu plus tôt dans l'émission. "Bon, alors moi je ne vais pas être comme Béatrice (Dalle, ndlr). Je ne vais pas vous répondre des choses qui vont vous gêner...", a-t-elle glissé avant de s'adresser à son ancien compagnon.
"Est-ce qu'il songe réellement à être à nouveau candidat en 2027 ? Mais est-ce qu'il peut y arriver sans moi ?", a-t-elle lâché face caméra. Une remarque qui a laissé bouche bée Léa Salamé. Ce à quoi Christophe Dechavanne - qui a présenté son "nouveau compagnon" - a réagi, amusé : "Je ne voudrais pas devancer la pensée de l'ex-président, mais il va être ravi de cette réflexion, je pense !".
Un peu plus tôt lors du "Photocall", Valérie Trierweiler avait été invitée à poser une question à Ségolène Royal, l'ex-femme de François Hollande. Après un fou rire provoqué par Paul de Saint Sernin, elle avait lancé : "Ségolène, on a une longue histoire elle et moi... Sérieusement, je lui demanderais : est-ce que vous croyez sérieusement qu'Emmanuel Macron ne vous a pas reçu parce que vous êtes une femme ? Il faut arrêter avec ça !".