C'est un match qui a son importance en vue du prochain Euro qui se déroulera en Allemagne l'an prochain. Ce lundi 19 juin au soir, l'équipe de France affronte la Grèce au Stade de France pour une rencontre que les Bleus devront gagner pour prendre le large au classement. Avec ses stars, Kylian Mbappé et Antoine Griezmann en tête, la bande à Didier Deschamps retrouve son public après une victoire à Gibraltar la semaine dernière. Comme c'est le cas depuis 2016, Bixente Lizarazu sera au commentaire de ce match, avec son compère de toujours, Grégoire Margotton. Un duo qui a fait ses preuves et qui s'apprécie autant durant les matchs qu'en dehors.
L'ancien footballeur de 53 ans a parfaitement géré sa reconversion après une brillante carrière qui l'a notamment vu passer par le Bayern Munich, où il est toujours très apprécié des supporters. En dehors de sa vie professionnelle, il partage son quotidien avec l'actrice et chanteuse, Claire Keim. Un duo qui se veut généralement très discret dans la vie de tous les jours, mais qui mène la belle vie du côté du Pays basque, d'où est originaire le sportif. Père d'un grand garçon prénommé Tximista, d'une première union, installé depuis plusieurs années à New York, il a également eu une fille, Uhaina, âgée de 14 ans. Le couple la protège au maximum est presque aucune photo de la fille de Claire Keim n'a été diffusée.
Aujourd'hui, je dois la mettre en garde contre des dangers que je ne connais pas et que je ne maîtrise pas
Malgré tout, l'actrice de 47 ans a bien voulu parler de l'éducation de sa fille, dans une interview accordée à TV Grandes Chaînes et elle évoque notamment les problèmes d'actualité, tel que le cyberharcèlement. "C'est difficile. Avant nos parents nous mettaient en garde contre des dangers qu'ils connaissaient. Aujourd'hui, je dois la mettre en garde contre des dangers que je ne connais pas et que je ne maîtrise pas. Le plus angoissant, c'est de ne pas pouvoir lui expliquer d'où ils viendront", explique l'ancienne compagne de Frédéric Diefenthal.
Malgré ses angoisses parentales, Claire Keim essaye de prendre du recul sur tout ça : "Je ne suis pas très sévère, certes, mais j'ai l'impression de pouvoir faire confiance à ma fille. En revanche, je pense qu'elle ne mesure pas tous les enjeux."