On ne la présente plus ! Voilà plusieurs années que Mélanie Laurent s'épanouit pleinement dans l'industrie du 7ème art en tant qu'actrice et réalisatrice. En parallèle, l'heureuse maman de deux enfants s'est aussi essayée à la musique. En tout cas le 25 décembre prochain, le film Le Deluge de Gianluca Jodice, dans lequel elle incarne Marie-Antoinette, sortira au cinéma pour le plus grand bonheur des cinéphiles. Au cours d'un entretien accordé au Monde, la pétillante blonde a levé le voile sur son quotidien avec les siens, loin des regards indiscrets.
Il y a bien des années, l'artiste de 41 ans a d'ailleurs quitté Paris sans ciller."Il y a dix ans, j'ai ressenti le besoin de faire une coupure radicale, de m'isoler en allant m'installer sur une île en Bretagne", a t-elle confié à nos confrères, en cette fin d'année 2024. "Je viens d'en revenir, mais j'habite à la campagne". Là-bas étant préservée du stress urbain, l'intéressée a donc la chance de pouvoir pleinement profiter d'un cadre naturel exceptionnel en plus de la gastronomie locale. "Depuis l'âge de 20 ans, je suis engagée dans la cause environnementale, particulièrement auprès de Greenpeace. Ça m'a fait voyager, apprendre des choses, prendre conscience du monde et pas seulement de mon monde à moi", a reconnu Mélanie Laurent, en toute sincérité.
Fidèle à ses valeurs, Mélanie Laurent a manifestement su retrouver un bel équilibre en quittant la capitale française. "J'ai ressenti le besoin d'arrêter les combats sur le terrain et d'être en accord avec mes convictions en vivant près de mon potager, avec cette nature que je veux défendre et protéger", a ajouté celle qui fut souvent aperçue lors d'innombrables manifestations. Au sein de sa famille, elle n'est pas la seule à s'être distinguée en tant que militante... Et la politique n'a d'ailleurs jamais été prise à la légère !
"Nous participions beaucoup aux manifestations, notamment contre le Front national", a glissé la célèbre comédienne. "Quand j'étais petite, je n'allais pas à Disney, mais à la fête de l'Huma. Mes grands-parents, éditeurs de poésie et de théâtre, y tenaient un stand. Ils publiaient notamment l'Agenda des théâtres, que toute la famille aidait à relier à la main dans leur bureau de Montreuil (Saint-Saint-Denis).