Léa Salamé est un femme très occupée. Chaque samedi, les téléspectateurs de France 2 peuvent la retrouver aux commandes de Quelle époque !. Une émission qui cartonne. On lui confie également parfois des émissions spéciales. Et on peut aussi la retrouver sur France Inter depuis 2014. Malgré son emploi du temps chargé, l'animatrice de 43 ans accorde quelques interviews. En 2022 par exemple, elle a participé au podcast InPower. Et elle a fait une révélation sur sa manière de gérer la pression.
Lors de cet entretien, Léa Salamé s'est confiée sans filtre. Elle a évoqué sa famille, les réseaux sociaux, la maternité ou sa carrière. Elle a notamment expliqué que malgré des "propositions plus light", elle souhaitait rester dans l'univers de la politique, bien que ce ne soit pas toujours facile. "Il ne faut pas se planter. Il y a une pression de ne pas se planter, de ne pas dire n'importe quoi, de ne pas laisser dire n'importe quoi", a-t-elle notamment déclaré.
Et de dévoiler sa semaine type. "Le réveil sonne à 5h du matin, je vais à la matinale à la radio. On fait la matinale de 7h à 9h, ensuite on débrieffe. Ensuite j'ai souvent des réunions pour préparer l'émission politique ou l'émission du samedi soir. Je travaille ensuite pour préparer mes interviews du lendemain de la matinale. (...) Ensuite je vais chercher mon fils à l'école à 16h30. On retrouve son frère et il y a une heure pour eux. Ensuite, ils sortent et je me remets à bosser pendant deux heures. Ensuite je prépare le dîner ou je commande (...). On dîne, je fais leur douche et je lis les histoires. Je les couche vers 20h30-21h. Ensuite on essaie de se prendre deux clopes avec mon mec, avec parfois un petit verre de vin histoire de se parler. Et dodo vers 23h pour assurer le lendemain", a confié la compagne de Raphaël Glucksmann.
Léa Salamé a ensuite été interrogée sur la manière dont elle gérait la pression dans son travail. Et elle a étonné son interlocutrice. "Le petit shot de vodka, dans les grosses émissions. Quand il y a une petite flippe, petit shot et je t'assure que ça me détend. Et quand il y a une vraie grosse angoisse, un petit quart de Lexomil. Mais c'est rare. L'expérience fait que tu as moins peur. J'ai moins peur d'aller en direct qu'il y a cinq ou dix ans", a-t-elle révélé.