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Dans l'émission "Héritages", consacrée à la succession d'Alain Bashung et diffusée le jeudi 22 octobre 2020, on apprend qu'Arthur, le premier fils du chanteur, a été tenu à l'écart de la fin de vie de son propre père.
Il y a plus de dix années désormais, on célébrait les obsèques d'un monstre sacré de la chanson française : Alain Bashung.Un dernier adieu très dur pour son propre fils, Arthur, qui s'est alors senti mis de côté comme l'ont repéré nos confrères de Gala, citant le magazine Héritages consacré à la succession du chanteur, diffusé le jeudi 22 octobre 2020 sur NRJ 12.
On apprend qu'à la fin de sa vie, Alain Bashung a voulu renouer avec son fils. Il lui rend alors visite à l'hôpital et se rend même à la cérémonie d'obsèques, le 20 mars 2009. Malgré ces efforts, on comprend que la troisième et dernière épouse du chanteur, Chloé Mons, aurait tout fait pour creuser le fossé entre Alain Bashung et son fils. "Arthur se sent complètement mis à l'écart de la fin de la vie de son père et même de la mort de son père", reconnait le journaliste Vincent Guillot dans l'émission.
Les obsèques de son père, une journée "humiliante"
Lors des obsèques, sa maman, Chantal Monterastelli est "persona non grata" et Arthur se retrouve esseulé. "La cérémonie à Saint-Germain-des-Prés elle se passe d'une façon encore frustrante, humiliante pour Arthur qui est traité comme un étranger, qui ne se trouve même pas dans le carré avec la famille. Il est parmi les autres invités", a décrit Bernard Pascuito, auteur du livre Les héritiers (ed. Anne Carrière).
Il faut dire qu'à l'époque, l'affaire de l'héritage d'Alain Bashung avait fait grand bruit. En 2001, le chanteur s'était remarié avec la chanteuse Chloe Mons, mère de leur fille Poppée. C'est à elle qu'Alain Baschung aurait tout légué. "Le lendemain de l'enterrement de son père, Arthur a eu le choc de recevoir le testament : Alain avait laissé à sa veuve tous ses droits d'auteur, bénéfices artistiques, biens, meubles et effets personnels. Concrètement, jusqu'à la mort de sa belle-mère, qui n'est pas beaucoup plus âgée que lui, Arthur ne pourra rien percevoir", dénonçait Chantal Monterastelli dans les colonnes du Journal du Dimanche. Une histoire démentie par Chloé Mons, qui estimait que les poursuites judiciaires avaient pour but de "réécrire l'histoire". "Personne n'a été déshérité. Alain a été extrêmement équitable avec tout le monde", avait-elle assuré à Paris Match.