Les Jeux olympiques jouent les prolongations chez Amélie Mauresmo. La directrice de Roland-Garros a partagé une rare photo de ses enfants vendredi 17 août sur Instagram. Son fils et sa fille profitent de l'été dans une piscine et s'adonnent à un combat aquatique l'un contre l'autre, sur les épaules d'amis de la famille. C'est ce joli moment qui a été saisi par Amélie Mauresmo pour une occasion très particulière : son fils, Aaron, fête ses 9 ans.
"Bon anniversaire mon grand. On fait nos JO à nous", écrit la tenniswoman multimédaillée avec tendresse, accompagné du hashtag "amour inconditionnel". Amélie Mauresmo est d'ordinaire très discrète sur sa vie privée. Elle ne publie que rarement des photos de ses enfants, dont les visages sont toujours cachés par des emojis. Mais ils font parfois des apparitions publiques avec leur mère, comme lorsqu'ils sont venus admirer la grande finale de Roland-Garros, en juin dernier. Avec la joueuse de tennis Pascale Arribe, Amélie Mauresmo a eu deux enfants : Aaron, en 2015, et une petite fille, Ayla, née en 2017. Elle s'étaient séparées peu après.
Parmi les 57 000 abonnés de l'athlète, beaucoup souhaitent un bon anniversaire au petit garçon, qui préférerait le terrain de golf au court de tennis, selon sa maman. Celle-ci avait partagé il y a quelques mois des photos de lui portant un gros sac plein de clubs de golf ! "Que ce moment soit inoubliable", commente un internaute. "Ça grandit, ça grandit ! Gros bisous et bon anniversaire", écrit un autre, conquis par cette famille unie et sportive. La soeur d'Aaron, Ayla, aurait quant à elle une passion pour la gymnastique !
Nul doute que ces agréables moments en famille font du bien à Amélie Mauresmo, qui vit un divorce douloureux avec son épouse, Marie-Bénédicte Humel. Les deux femmes s'étaient mariées en 2021 mais deux ans plus tard, celle qui avait courageusement fait son coming-out en 1999 a demandé le divorce et accuse son ex-femme de "harcèlement". Sa plainte a même débouché sur un procès au tribunal de Bayonne. Amélie Mauresmo y a raconté avoir vécu un "enfer", avec "les humiliations, le chantage, et les SMS désobligeants" de Marie-Bénédicte Humel. Jusqu'à se voir prescrire dix jours d'ITT, tant les dégâts psychologiques étaient importants. Avec ses enfants, Amélie Mauresmo retrouve un peu de calme après la tempête.