Cela fait maintenant cinq semaines que people=2435]Les Anges de la télé-réalité[/people] cartonnent sur NRJ 12. Si Marie agace tout le monde dans la maison et ne mettra plus longtemps avant de péter littéralement les plombs, c'est entre Amélie et Catherine que les embrouilles ont d'abord commencé dans la villa. On se souvient qu'à peine l'émission commencée, Amélie Neten, révélée dans Secret Story 4, avait fait parler d'elle en ne souhaitant pas donner son lit à Catherine, la doyenne de l'émission. Entre les deux femmes éclatèrent ensuite de nombreuses disputes, à tel point que le ton est monté et, sur Facebook, des teams Catherine et des teams Amélie ont vu le jour.
Alors que le petit Hugo, fils d'Amélie était récemment menacé de mort par les fans de Catherine sur le réseau social, comme le relataient nos confrères de Oops, aujourd'hui, l'ex-candidate de Koh Lanta monte au créneau et, très énervée, revient sur ces fameuses menaces.
"Ni moi ni mes proches ne sommes mêlés à des menaces éventuelles sur son enfant", assure Catherine. Très énervée d'avoir pu être mêlée à cette affaire sordide, elle confie : "J'aimerais qu'il y ait une enquête de police pour prouver l'origine de ces menaces, si elles existent. Je n'accuse personne, mais je suis très curieuse."
Catherine en veut au magazine d'avoir pu associer son visage à une telle affaire. Elle leur a ainsi déclaré : "Au final, c'est ma tête qui apparaît dans un sujet titré 'Le bébé d'Amélie menacé de mort'. J'ai reçu de nombreux appels louches venant de Belgique depuis la publication de cet article. Et ça, je ne le supporte pas." Elle ajoute : "M'accuser de menaces sur un bébé, c'est grave, c'est pas comme aller raconter qu'Amélie a de faux nichons."
Malgré toutes ces mésaventures, Catherine ne regrette pas sa participation aux Anges. Elle explique : "Je ne regrette rien du tout. J'ai gagné de l'argent pour une association. Je n'ai emmerdé personne. Je ne suis pas une suceuse comme le sont beaucoup de candidats de télé-réalité qui magouillent pour continuer à exister dans les médias."
Chloé Breen