Aya, c'est le nouvel album d'Aya Nakamura. D'un ton bien plus personnel que son dernier opus, le projet sorti le vendredi 13 novembre 2020 a donné à tous les fans une envie irrésistible d'être amoureux. Il faut dire que la chanteuse d'origine malienne - devenue l'artiste française la plus écoutée au monde en 2020 - a pu s'inspirer de sa relation avec son producteur, Vladimir Boudnikoff, officialisée il y a peu.
Pour fêter la sortie de son troisième album, Aya Nakamura a fait la fête avec son compagnon. Dans sa story Instagram, elle a publié une vidéo d'elle en train de danser, tendrement enlacée à son homme. Le tout sur une musique... de son ex, Niska. Effectivement, les amoureux s'ambiançaient au rythme de Joli Bébé, de Naza, en feat. avec Niska. Beaucoup d'internautes ont donc été surpris de ce choix de chanson et la séquence s'est rapidement hissée en haut des tendances Twitter.
Il faut aussi dire que la relation qui unissait Aya Nakamura et Niska ne s'est pas terminée sous les meilleures auspices. En mars 2020, elle écrivait dans un Snap où elle posait avec un homme : "La bonne taille. Big up à mes ex les nains d'jardin".
Piqué au vif, Niska (et son mètre soixante-seize) avait répondu : "Y en a qui parle d'ex, c'est même pas réciproque. Ex coup d'un soir ouais". Aya Nakamura avait attaqué l'artiste sur ses enfants : "T'as des filles, tu parles comme ça ? Y en a tu parles vraiment pas d'eux, mais pour des centimètres en moins, ça manque de respect. Chakal tu te sens nain." Blessé, Niska avait répondu avec bassesse : "Apaise ton coeur, t'es un gars bien Aya. Gros bisous."
Depuis, Aya Nakamura semble être installée dans une relation bien plus saine. "Je ne calcule pas tous les mecs qui ont la rage, d'autant que cela fait longtemps qu'on est ensemble. Et puis lui aussi, il a la cote, je ne pense pas aux meufs dégoûtées. Je pense juste à nous deux, le reste on s'en fout (...) Pour l'instant, je n'ai pas prévu de me marier ou de faire un bébé... Je ne sais pas si je suis prête", confiait l'artiste dans les colonnes du Parisien, le 11 novembre dernier.