À force de déraper, la rappeuse Azealia Banks a fini par se faire arrêter.
Le magazine People nous apprend que la jeune femme de 24 ans a été placée en état d'arrestation, mercredi 16 décembre, après s'en être pris aux videurs d'une boîte de nuit new-yorkaise. À en croire le rapport de police que s'est procuré le magazine américain, l'interprète de Yung Rapunxel est accusée d'agression physique, trouble à l'ordre public suite à une bagarre, comportement violent et agression avec l'intention de causer des blessures. Un dérapage de plus pour celle qui s'était déjà attaquée à un steward et à un couple de touristes, lors d'un vol qui la ramenait à Los Angeles, en septembre dernier.
Selon les informations de la Page Six du New York Post, la jeune artiste a eu une violente altercation avec une femme chargée de la sécurité du club Up&Down, qui n'a pas souhaité la laisser entrer dans l'établissement ; lequel abritait une soirée d'anniversaire "sur invitation uniquement", ce soir-là. "Il vous faut un tampon pour pouvoir entrer", lui a expliqué la personne à l'entrée, déclenchant la colère de la star. "Il y avait une femme et un homme à l'entrée, mais ils ne l'ont pas reconnue", rapporte une source anonyme au tabloïd américain, précisant que la chanteuse s'est mise à hurler et à proférer des injures raciales.
Alerté par le vacarme, un des propriétaires du club a finalement décidé de laisser entrer Azealia Banks qui, à peine dans l'établissement, s'est mise à maudire le staff, expliquant "qui elle était et qu'elle figurait sur le prochain album de Rihanna". C'est à ce moment-là que tout a dérapé. Alors qu'un membre de la sécurité approchait, la rappeuse a complètement disjoncté et craché au visage de la jeune femme qui lui avait refusé l'entrée, avant de lui mordre le sein tandis qu'on la mettait à la porte.
"Je vais appeler la police", a-t-elle menacé avant de se diriger vers une voiture de police. Mais alors qu'elle revenait vers la boîte de nuit escortée par les officiers, elle a mis une droite à une videuse avant de se faire embarquer par les forces de l'ordre. "Pourquoi vous m'arrêtez ?", a-t-elle alors demandé. Etait-il vraiment besoin de répondre ?
Coline Chavaroche