Il y a encore un an, elle était quasiment inconnue ; depuis, elle a littéralement explosé.
Et pourtant, depuis une dizaine d'années, elle est apparue dans plusieurs productions françaises comme les séries télé Un et un font six, Le fil du rasoir ou Le bleu de l'océan, et dans des films comme Le ciel, les oiseaux et ta mère, Cravate Club ou Bienvenue chez les Rozes. Mais comme sa carrière ne décollait pas vraiment en France, la très charmante Béatrice Rosen, 26 ans, a fait ses valises, est montée dans un avion et a traversé l'Atlantique direction Hollywood, où, depuis quelques années, elle perce à vitesse grand V... au point de mettre la Cité des Anges à ses pieds !
Après être entrée par la petite porte via des séries télé comme Smallville, Charmed ou Cuts, elle s'est jetée dans le grand bain en apparaissant dans le méga-succès planétaire The Dark Knight - c'était elle la superbe danseuse étoile russe qui arrivait au bras de Christian Bale -, avant de la retrouver l'année dernière dans un rôle plus conséquent dans le blockbuster 2012 (voir la bande-annonce).
Depuis, la jolie blonde est partout : dans les soirées les plus courues, en tant qu'égérie Lancel, comédienne dans la série britannique 100 questions, rôle dans le film The Big I am avec Michael Madsen, ou duo avec Stanislas (Sensiblement modifiés). Mais ce n'est pas tout...
Nous retrouverons en effet Béatrice en 2011 dans le rôle principal du nouveau film de Sébastien Rossi, écrit par Bibi Naceri, intitulé Road 9, et dont le tournage commencera en janvier 2011 à Marrakech. Mais aussi dans un épisode de la série Nikita au côté de Maggie Q et dans Harry's Law face à la grande Kathy Bates.
Et la France ne sera pas en reste avec une grande tournée à Paris et en province au côté de Bernard Tapie dans la pièce Sept ans de réflexion, de George Axelrod, mise en scène par Jean-Marie Poiré, à l'occasion de cent représentations exceptionnelles qui nous permettront de voir la belle blonde dans le rôle immortalisé par Marilyn Monroe dans le film de Billy Wilder.
Béatrice Rosen, on n'a pas fini d'en entendre parler...
A.I.