Panique au ministère de l'Intérieur. Dimanche 15 mai au soir, le compte Twitter de Bernard Cazeneuve était au centre de toutes les attentions après qu'une photo très culottée a été ajoutée dans les mentions "j'aime" de l'homme politique. Au coeur des moqueries, un cliché publié en décembre dernier par Capital Punishments, un compte qui se définit comme étant "le plus discret groupe d'adeptes de la fessée de Londres". Sur la photographie jugée "érotique" selon certains ou carrément "porno" selon d'autres, une femme se fait donner la fessée à coups de canne. Si la publication a rapidement été effacée, il était trop tard : plusieurs internautes s'étaient déjà chargés de faire des captures d'écran.
Rapidement repérée, cette bourde 2.0. a bien évidemment vite fait le tour des réseaux sociaux, quelques utilisateurs se demandant notamment qui se trouvait à ce moment-là aux manettes du compte Twitter de l'homme politique. En effet, le ministre de l'Intérieur n'a pas la main sur sa page et une équipe digitale est chargée de gérer le compte @BCazeneuve à sa place, comme l'a souligné son attachée de presse, qui a affirmé qu'une "enquête interne" serait ouverte.