La France s'est fait un sang d'encre pour elle. Le 19 juillet dernier, l'état de santé de Brigitte Bardot nécessitait l'intervention des secours, à son domicile, situé à Saint-Tropez sur la Côte-d'Azur. Une sorte de détresse respiratoire avait alerté la comédienne de 88 ans qui souffrait de la chaleur au point de faire un petit malaise. Elle avait alors préféré demander de l'aide. L'icone du septième art se porte-t-elle mieux depuis l'incident ? Tout porte à le croire. C'est en tout cas ce qu'assure son amie Mireille Dumas au micro d'Europe 1 dans l'émission Le Club de l'été.
Elle a souffert de la chaleur
Mireille Dumas s'est considérablement rapprochée de Brigitte Bardot ces derniers temps, notamment pour travailler sur le documentaire intitulé Brigitte Bardot l'insoumise, qui a été diffusé sur Canal+ Doc le 19 juin dernier. Depuis cette fameuse diffusion, l'ancienne présentatrice de l'émission Vie privée, vie publique a eu l'actrice au téléphone. Ce qui explique qu'elle soit en mesure de nous éclairer sur la situation. "Écoutez, comme toute personne d'un âge certain, elle a souffert de la chaleur, a-t-elle rappelé sur Europe 1. C'est un été qui est quand même difficile, mais là, elle va bien."
Les choses restent fragile
Bernard d'Ormale, le mari de Brigitte Bardot depuis l'année 1992, avait déjà donné des nouvelles rassurantes de l'héroïne du film Le Mépris, de Jean-Luc Godard. Il avait dévoilé tous les détails de l'incident, le jour-même, dans les colonnes du journal Var-Matin. "Il était aux environs de 9 heures lorsque Brigitte a eu du mal à respirer, soulignait-il. C'était plus fort que d'habitude mais elle n'a pas perdu connaissance pour autant. Appelons ça un moment d'égarement respiratoire. Les sapeurs-pompiers sont arrivés, lui ont fait respirer de l'oxygène et sont restés un moment pour la surveiller. Comme toutes les personnes d'un certain âge, elle ne supporte plus la chaleur. Ça arrive à 88 ans, Il ne faut pas qu'elle fasse d'efforts inutiles. Son pouls va bien, son coeur aussi et sa tension est bonne mais les choses restent fragiles."