I... Comme Icare (rediffusé le 15 janvier prochain sur arte à 20h45), une nouvelle occasion pour Carole Amiel de parler de celui qu'elle a été la dernière à aimer : la légende du cinéma français Yves Montand.
Vingt-cinq ans après sa disparition, un triste anniversaire qui n'a pas manqué d'être célébré, Carole Amiel évoque avec tendresse l'être qui les lie à tout jamais, leur fils Valentin, né en 1988. La veuve d'Yves Montand revient sur ce moment de bonheur qui a transformé l'acteur et chanteur. "Il en était fou ; son fils lui a apporté une vraie sérénité", confie-t-elle à Télé Poche.
Lorsque l'hebdomadaire évoque les multiples scandales auxquels Carole Amiel a été confrontée – Aurore Drossard qui continue de clamer qu'elle est la fille d'Yves Montand ou encore les écrits délicats de Catherine Allégret, maman de Benjamin Castaldi et belle-fille d'Yves Montand – cette dernière n'a jamais perdu de vue sa seule et unique priorité : Valentin. "Mon seul souci a été de protéger mon fils", assure-t-elle.
Bien qu'étant un "fils de", Valentin a fait le choix de grandir loin du monde de la célébrité et des paillettes, pour le grand bonheur de sa mère. "Nous tenions à ce que notre fils grandisse loin des caméras et qu'il trace son chemin. Je suis heureuse que Valentin soit bien dans ses baskets", s'enthousiasme Carole Amiel.
Valentin n'avait que 3 ans lorsque son papa est décédé à 70 ans d'un infarctus du myocarde, le lendemain du dernier jour de tournage du film IP5 de Jean-Jacques Beineix. Présenté pour la toute première fois à la presse par sa maman alors qu'il avait 18 ans, Valentin Livi avait certifié ne pas vouloir suivre les pas de son papa, qu'il aurait préféré anonyme plutôt que célèbre. Dix ans plus tard, le fils d'Yves Montand n'est toujours pas comédien, ni chanteur.
L'intégralité de l'interview de Carole Amiel est à retrouver dans Télé Poche (programmes du 14 au 20 janvier 2017).