Du palais de justice, Caroline Vigneaux est passée à la scène en un claquement de doigts. Depuis 2008, l'ancienne avocate fait rire et ne compte pas s'arrêter en si bon chemin après un temps de repos forcé pendant le confinement avec ses deux garçons. Sa vie de maman, l'humoriste de 47 ans l'avait évoquée au cours d'une interview pour Paris Match en pleine crise sanitaire. Un entretien au cours duquel elle confirmait également être séparée du papa, avec qui une garde alternée a été mise en place.
A la recherche de l'amour, comme elle l'a récemment indiqué dans le Buzz TV du Figaro, Caroline Vigneaux pensait l'avoir trouvé. Plus jeune, la Nantaise est tombée amoureuse d'un homme avec qui elle était prête à s'engager pour la vie. Le destin en a finalement décidé autrement, transformant cette belle histoire en "premier chagrin d'amour" : "Je devais me marier avec un garçon et il m'a quittée pour en épouser une autre. Ce fut horrible, mais au final, c'est une bénédiction" avait-elle confié à Paris Match.
Ce triste rebondissement n'a pas empêché Caroline Vigneaux de s'épanouir dans une vie de famille. Elle n'en parle que très rarement mais elle est complètement gaga de ses deux enfants. Et malgré un quotidien à 100 à l'heure, ses fils restent sa priorité. Si la période de confinement n'a pas été facile, elle a révélé que ce dernier lui avait quand même "sauvé la vie" : "Je suis chez moi, avec mes enfants. J'ai retrouvé un rythme normal, moins effréné. Ça m'a fait un bien fou. Mes enfants sont ravis aussi."
Caroline Vigneaux avait même précisé s'être mise à la méditation, une pratique salvatrice qui lui a permis de remonter la pente : "J'étais au bord du burn-out. Je bossais tellement. Ça fait dix ans que je suis sur la route, que je n'arrête pas. Être à l'arrêt pendant un mois, c'est quelque chose que je n'avais pas vécu depuis dix ans. Je n'ai jamais pris autant de vacances. En plus, il n'y a pas de culpabilité. Car avant je prenais des vacances mais on me proposait des choses et j'acceptais. Durant mes dernières vacances je devais partir dix jours, mais à chaque fois j'ai dit oui à des programmes. Résultat je suis partie que quatre jours en Martinique. Je n'arrivais pas à dire non." Sans doute aimerait-elle dire 'oui' dans d'autres circonstances...