Totalement dépité, le pilote de F1 Charles Leclerc a été contraint d'abandonner quelques instants avant le début du Grand Prix de Monaco. Un problème technique a été repéré au niveau du bras de transmission gauche de son véhicule. "Je commence à être habitué a confié le pilote à l'AFP, Mais désormais, je suppose que je m'habitue à ce sentiment à Monaco, malheureusement. Je n'ai jamais terminé une course ici. Cette année, je ne la commence même pas, alors que je devais partir de la pole... C'est difficile."
Un sentiment de fatalité pour Charles qui a été contraint à l'abandon depuis 2017 lors du GP de Monaco, que ce soit en F2 ou en F1 en 2018 et 2019. L'année passée, la course avait été annulée en raison de la crise sanitaire du covid-19.
Considéré comme favori après avoir effectué les meilleurs temps des qualifications samedi, le jeune Monégasque a malheureusement abîmé son véhicule en frôlant de trop près sa monoplace dans le virage de la Piscine, sur le port de la Principauté. Repéré quelques instants avant la course lors du tour de reconnaissance des véhicules, ce problème technique a malheureusement stoppé net l'ascension du pilote. L'annonce de l'abandon de Leclerc a également été une énorme déception pour ses fans dans les tribunes, où 7500 personnes étaient présentes.
Assis seul, les yeux dans le vide près de ses écuries, le pilote a été chaleureusement réconforté par le prince Albert qui n'a pas hésité à venir le prendre dans ses bras pour le consoler. Également présente pour soutenir son petit-ami, l'influenceuse Charlotte Siné a confié son désarroi au journal Nice Matin. Optimiste, elle a ainsi déclaré : "On est très tristes pour lui. Il est très déçu forcément mais il a la tête froide. Il avait ses chances de gagner aujourd'hui. Mais ce n'est que partie remise pour l'année prochaine et les années à venir. En tout cas, il a démontré de quoi il était capable sur la piste lors des essais libres et des qualifs." Une chose est sûre, l'année prochaine Charles reviendra plus combatif et plus déterminé que jamais.