Le 25 mars 2021, on apprenait que Christian Quesada avait déjà quitté sa prison après sa condamnation survenue... en avril 2020. L'ancien gagnant des Douze coups de midi (TF1) avait été jugé pour pour "corruption de mineurs" et "détention d'images pédopornographiques". Mais il se serait rendu coupable de beaucoup plus que ça...
En effet, dans l'émission du vendredi 26 mars de Touche pas à mon poste, le chroniqueur Guillaume Genton a fait des révélations à prendre avec précaution. Alors qu'il a affirme avoir pu consulter le dossier judiciaire de Christian Quesada, il a donné quelques détails glaçants sur ce qui serait reproché dans son ensemble au célèbre candidat de télé. "Ce qu'a fait Christian Quesada c'est infâme et abject. On pensait qu'il détenait, je le dis entre guillemets même si c'est déjà horrible, juste des images de mineurs, mais ça va beaucoup plus loin. Il y a de la manipulation, des fausses identités. Il prenait des photos de mineurs à leur insu dans la rue afin de se masturber après. Il échangeait les images avec d'autres gens, il les regardait avec des personnes...", a-t-il d'abord raconté.
Et le chroniqueur, qui promet un documentaire et des révélations intégrales et détaillées lundi 29 mars, d'ajouter : "Il se faisait passer pour une jeune femme en demandant à des mineurs des photos de leur poitrine, pour après leur promettre une rencontre avec quelqu'un de connu de télé, en l'occurrence Christian Quesada. Il fixait une grille de tarifs : pour mater c'est 100 balles, pour toucher c'est 200 balles, pour faire l'amour c'est 300 balles. Je ne suis pas juge ni avocat mais la sanction de deux ans est très légère..."
Au moment de la condamnation de Christian Quesada, outre la peine ferme, on apprenait qu'il avait été aussi contraint à cinq ans de suivi socio-judiciaire. En cas de non-respect du suivi, il devra effectuer trois années de prison supplémentaire. En outre, une inscription au fichier des auteurs d'infractions sexuelles (FIJAIS) avait été réclamée.