D'ordinaire très discret sur sa vie privée, Christophe Alévêque a pour habitude de ne pas trop dévoiler les pans de sa sphère intime. Mais, en ce mercredi 28 décembre, l'homme de 59 ans a fait une exception pour évoquer son dernier fils, Marcello, né en 2017 et issu de sa relation avec Serena Reinaldi, ancienne star de télé-réalité. Si les tourtereaux sont aujourd'hui plus amoureux que jamais, ils doivent cependant faire face à une situation qu'il n'aurait jamais imaginé...
En effet, leur petit garçon Marcello a très vite été diagnostiqué autiste Asperger. Dans un long entretien accordé au magazine Ici Paris et publié le 28 décembre, l'humoriste s'est confié comme jamais sur la situation mentale de son fils. Alors qu'il fait actuellement la promotion de son nouveau livre intitulé L'enfant qui ne parlait plus, il est revenu sur les raisons qui l'ont poussé à se lancer dans l'écriture. "Quand j'ai commencé à réfléchir à ce livre, mon enfant Marcello, le petit dernier, a été déclaré autiste Asperger. Je me suis retrouvé dans une situation qui n'est évidemment pas la même que dans mon roman mais, en tant que père, je me sens investi d'une mission, celle de rendre mon enfant heureux et de lui donner toutes les cartes en main pour l'être toute sa vie. Mon petit garçon est magnifique, c'est mon rayon de soleil avec ma femme", a-t-il révélé.
Je n'aime pas le terme de handicap
Par bonheur, les parents du petit Marcello sont bien entourés et soigneusement accompagnés. "Il a été diagnostiqué assez rapidement et cela n'a pas été une surprise pour nous. On a trouvé une belle équipe pour nous aider. Il faut essayer de se mettre un peu dans sa tête. Sa sociabilisation est difficile, il n'a pas les codes. Mais sinon, il est hyper câlin et a une mémoire phénoménale !", a expliqué Christophe Alévêque auprès de nos confrères.
Loin de considérer son fils comme malade, l'humoriste pense au contraire que son petit Marcello est particulièrement intelligent. "Je n'aime pas le terme de handicap, ce sont juste des enfants et des adultes qui pensent autrement et qui ne vivent pas les émotions comme nous. Mais certaines fois, je me demande si ce ne sont pas eux qui ont raison...", a-t-il conclu, pensif.