Gardienne de l'équipe de France de handball, Cléopâtre Darleux, qui sera à l'écran ce samedi soir sur France 2 dans Fort Boyard, est une compétitrice dans l'âme. Mais en parallèle de sa carrière sportive, elle est également mariée (avec un homme dont l'identité est gardée secrète) et maman d'une petite fille nommée Olympe et née en 2019. Une jolie famille, qu'elle n'hésite pas par moment à montrer à ses abonnés sur ses réseaux sociaux, comme le 9 juillet dernier sur son compte Instagram. "On est bien ! Sunset en famille... On fait le plein d'énergie avant la reprise", écrivait-elle en commentaire.
Le 19 juin dernier, celle qui avait appelé à voter pour Emmanuel Macron publiait un adorable cliché d'elle en train de porter sa fille à la plage. L'année dernière, elle célébrait ses deux ans de mariage avec son chéri en dévoilant un mini extrait, voire un gif, de la cérémonie.
"Un équilibre de vie"
La naissance d'Olympe a eu un véritable impact sur sa vie, et notamment sur sa carrière de handballeuse. "Depuis cet heureux événement, je me sens beaucoup plus femme, beaucoup plus comblée, même dans la pratique sportive, je me sens plus forte et meilleure", peut-on lire sur le site officiel des Jeux Olympiques .
"Sur le plan physique, je me sens mieux. Sur le plan psychologique, quand je vais à l'entraînement, je suis plus efficace. Quand je pars pendant longtemps, j'essaie de le faire pour une bonne cause, de ne pas partir un mois pour rien. Et cela me permet d'être plus détachée avec la pratique et plus adulte dans certaines situations. On relativise beaucoup plus quand on est parent", expliquait-elle, plus en détails, dans les colonnes du Télégramme.
De plus, bien que cela nécessite "une sacrée organisation", sans oublier la fatigue et "les nuits perturbées" qui vont avec, "c'est l'épanouissement personnel qui fait la différence" racontait-elle, toujours pour le média breton. "Ça me permet d'avoir un équilibre de vie, d'être plus épanouie sur le plan personnel et sur le plan sportif. Quand on est sportif de haut niveau, on a l'impression de passer à côté d'une partie de notre vie. Là, on a l'impression de vivre la vie d'une personne de son âge", ajoutait-elle.
La jeune femme de 33 ans, fâchée l'année dernière avec le journal L'Équipe, est également reconnaissante du geste de son club à Brest, "qui a maintenu [son] salaire alors qu'il n'était pas obligé de le faire". "Ça a été une sacrée chance" avait-elle reconnu, à une époque où "devenir maman quand on est sportive de haut niveau est encore un peu tabou".