Ce n'est pas la Christina Cordula reine de la mode qui fait actuellement la couverture du magazine Télé 7 Jours, mais plutôt la maman fière de son fils Enzo, âgé de 19 ans. La jolie Brésilienne et ex-mannequin présente en effet son fils à la France entière.
Profondément sincère, la conseillère en image de Nouveau look, pour une nouvelle vie (M6), connue pour ses répliques cultes comme "Ma chériiiie" ou encore "Magnifaïk" - expressions qu'elle a déposées en tant que marque avant Nabilla et son célèbre "Non mais allo quoi !" - ne cache pas que prendre la pose au côté de son fils Enzo a été particulièrement émouvant pour elle : "J'ai failli en pleurer d'émotion [...] C'est l'amour de ma vie. Et nous sommes très complices. Je l'ai toujours surprotégé des médias, mais aujourd'hui, c'est différent, il a 19 ans."
Au côté de son grand garçon, l'animatrice des Reines du shopping n'a d'ailleurs rien à voir avec la conseillère un peu déjantée que l'on peut voir sur M6. "Je suis très câline et très attendrie par mon fiston [...] Pour moi, c'est le plus beau, le plus intelligent... On a l'air un peu bête, en fait, d'être aussi gaga d'un enfant !", raconte-telle au magazine, plus que fière de son fiston, qui étudie actuellement dans une école de commerce.
Vraie businesswoman, Cristina Cordula s'est déjà attaquée au style vestimentaire de chanteurs, d'acteurs et de politiques français. Mais s'il y a bien un défi qu'elle aimerait relever, c'est relooker Laurent blanc. "L'entraîneur du Paris Saint-Germain est un bel homme, mais il a vraiment besoin de costumes plus classe", se moque-t-elle gentiment.
Toujours aussi belle à 49 ans, Cristina Cordula ne compte pas prendre sa retraite de sitôt et a envie de relever de nombreux challenges, comme celui de participer à Danse avec les stars sur TF1 : "Je signe tout de suite", confirme-t-elle avant de préciser : "J'ai fait de la danse jusqu'à l'âge de 18 ans. C'est l'une de mes passions."
Retrouvez l'intégralité de l'interview de Cristina Cordula dans le magazine Télé 7 Jours du 8 au 14 février.
Sarah Rahimipour