Un mois après avoir reçu une nuée de critiques de la part des internautes à propos de son physique, Daisy Ridley, jugée trop mince par certains, s'est confiée sur sa routine sportive lors d'une session de questions et réponses sur le chat Facebook, lundi 4 avril. L'héroïne du dernier volet de la saga Star Wars : Le Réveil de la Force a avoué entretenir une relation ambiguë avec... le footing ! "S'il y a une chose que j'adore et que je déteste en même temps ? Probablement la course à pied. J'apprécie un petit peu plus le sprint, j'aime bien ça, mais parfois, j'ai le cerveau qui cogne dans la tête et puis, après, finalement, j'ai l'impression d'avoir tout déchiré", a-t-elle déclaré.
Il faut dire que, pour son dernier film, l'actrice de 23 ans s'entraînait pas moins de quatre heures par jour, et ce, quatre jours par semaine. Une routine sportive très intense qu'elle est loin d'appliquer en dehors des plateaux de tournage. "Je ne cours jamais plus de cinq minutes, il faut le préciser. Mais peu importe parce que dès qu'on descend du tapis de course, on se sent toujours plein d'énergie. Je n'ai jamais vraiment fait de sport jusqu'à présent, mais j'ai l'impression que j'apprécie davantage la chose aujourd'hui", a-t-elle ajouté, précisant qu'elle n'était pas fan de sport avant de découvrir le netball (un sport anglais dérivé du basket-ball).
Toutefois, l'actrice pressentie pour incarner l'aventurière sexy Lara Croft dans le reboot de Tomb Raider, actuellement en préparation chez Warner et MGM, a avoué souffrir d'un léger handicap. "J'ai un problème au poignet donc je ne peux pas m'appuyer sur ma main gauche. Je ne peux pas faire de pompes par exemple, qui sont, selon moi, un symbole de force", a-t-elle finalement déclaré. Une faiblesse qui ne l'a pas empêchée de s'entraîner comme une forcenée pour endosser le personnage de Rey qui l'a révélée et qu'elle reprendra dans le huitième volet de la saga, toujours en cours de production, alors que les studios viennent de dévoiler une première bande-annonce pour le spin-off très attendu, Rogue One.
Coline Chavaroche