Danny Masterson a demandé à un juge de Los Angeles de rejeter la plainte de ses ex-petites amies qui, selon lui, n'est qu'un ramassis de "délires paranoïaques" et ne poursuivent qu'un seul objectif, celui d'être au centre de l'attention des médias.
En août dernier, Chrissie Carnell Bixler, Marie Riales et deux victimes qui ont voulu garder l'anonymat ont déposé plainte contre l'acteur et l'Église de scientologie, dont il fait partie, affirmant qu'elles avaient été harcelées sexuellement et harcelées également après le dépôt de plainte.
En janvier, Cedric Bixler-Zavala, le mari d'une des victimes, a publié une série de photos sur Instagram accusant l'Église de scientologie d'avoir empoisonné son chien. L'animal a dû être piqué.
Ce lundi 3 février 2020, Andrew Brettler, l'avocat de Danny Masterson, a demandé que la plainte soit écartée pour défaut de divulgation : "Ce procès ne concerne pas la justice, comme le prétendent les ex de M. Masterson de manière fallacieuse, affirme-t-il. C'est tout simplement un moyen de récupérer de l'argent." Il estime que les femmes ont porté plainte, car elles savent que l'affaire sera suivie par les médias.
"Dans ce qui ne peut être qualifié que d'illusions paranoïaques, les ex-petites amies de M. Masterson et un des maris jaloux se sont regroupés pour inventer ces allégations absurdes et sectaires visant en grande partie l'Église de scientologie, écrit Brettler. Elles ont transformé cette affaire en accusation de harcèlement et de harcèlement sexuel. Il ne faut pas donner à ces femmes délirantes le bénéfice du doute, elles se sont apparemment convaincues que les inconvénients quotidiens de toutes les grandes villes, comme la disparition de leurs poubelles ou le déverrouillage des portes de leur voiture, relevaient du grand complot contre elle qu'avait monté l'Église de scientologie."