Danse avec les stars est une expérience qui marque une carrière. Tous les candidats en gardent toutes sortes de souvenirs, des bons comme des mauvais. Sofia Essaïdi, issue de la première saison en 2011, a par exemple récemment confié qu'elle était "droguée aux médicaments" pendant une bonne partie de la compétition. Olivier Dion s'est lui aussi replongé sur son aventure lors d'une interview pour Jordan de Luxe dans sa nouvelle émission Chez Jordan sur Télé Loisirs.
Le chanteur et comédien canadien a participé à la saison 6 en 2015 et s'était hissé jusqu'en finale avec sa partenaire Candice Pascal, terminant à la troisième place. Outre ses confidences sur l'habitude qu'a pris la production à le mettre en scène torse nu à de nombreuses reprises, Olivier Dion a surtout évoqué son salaire juteux. Un somme qui est montée crescendo au fur et à mesure qu'il avançait dans le concours de danse de TF1. "Pourquoi le cacher ?", a-t-il assumé avant de révéler avoir perçu 50 000 euros "à peu près".
Et pour lui d'expliquer cette somme astronomique : plus il allait loin dans la compétition, plus il empochait de l'argent. Olivier Dion peut donc se réjouir d'être resté jusqu'à la fin de l'émission, lui qui avait "un bouquet de départ très faible", parce qu'il n'était pas vraiment connu en France à l'époque. L'ancien membre de la comédie musicale Les trois mousquetaires précise qu'il n'avait signé que pour gagner 10 000 euros en intégrant le casting. "J'étais très très content de me rendre jusqu'en finale", a-t-il donc avoué. Son beau chèque en poche, Olivier Dion a décidé d'en faire bon usage. "J'ai essayé d'être intelligent avec mon argent. J'en ai profité, j'en ai placé un peu, je n'ai pas été trop fou", a-t-il assuré.
Depuis qu'il a été vu dans Danse avec les stars, le charmant brun de 30 ans a prêté sa voix en 2016 au personnage de Branche dans le film d'animation Les Trolls et a repris sont rôle en 2020 pour la suite, Les Trolls 2. Il a également participé en 2018 à la première version de The Island : Célébrités sur M6 animée par Mike Horn.