Les prochains épisodes de la série Demain nous appartient promettent d'être particulièrement explosifs. Depuis quelques jours, la ville de Sète est menacée par un redoutable anonyme. On aurait pu croire que le calme régnerait après la tempête, notamment après l'attaque à main armée du commissariat de police, mais il n'en est rien. Vraiment rien. Le vendredi 1er février 2020, c'est l'hôpital Saint-Clair qui a été pris pour cible, à l'aide d'une manipulation informatique à distance, mettant à mal l'opération, en cours, de l'hernie discale d'André Delcourt – lui qui avait un pressentiment terrible avant de passer sur le billard !
Le malfrat avait pourtant prévenu. Sur les balles qu'il avait tirés lors de son premier méfait, il avait inscrit la phrase "Le pire est à venir". Un petit message qu'il a décidé d'envoyer, à nouveau, aux professeurs du lycée Paul Valery en plein cours. Comme on peut le voir dans un extrait diffusé sur le site MyTF1, l'établissement sera très prochainement menacé par une bombe. Dans la salle de classe, Sofia (interprétée par Emma Smet), Judith (Alice Varela), Jules (Xavier Widhoff), Souleymane (Dembo Camilo) ou encore Charlie (Clémence Lassalas) sont pris d'un élan de panique alors qu'on leur donne l'ordre de quitter les lieux. Réponse dans les jours à venir...
Décidément, c'est catastrophe sur catastrophe dans le Languedoc-Roussillon. La ville, qui se remet à peine de la mort d'Arnaud Molina et de l'incarcération de Bart Vallorta, doit désormais découvrir qui est la personne qui veut semer la mort sur les terres du sud. Si les soupçons se sont d'abord portés sur Danielli, difficile d'imaginer que ces trois attaques, très différentes, aient été planifiées par la même personne. A moins qu'il ne s'agisse d'un docker impliqué dans le trafic de chiens qui vient d'être démantelé par les gendarmes de Sète...