Dès que sa voix a ressurgi, avec l'aguicheur, piquant et remuant Well, well, well, Duffy s'est rappelée à notre bon, notre très bon souvenir.
La charmante Galloise avait fait irruption sur la scène musicale avec l'album Rockeferry, référence anthologique de l'année 2008 (4e rang des ventes mondiales de l'année 2008, et près de 9 millions d'exemplaires vendus dans le monde à ce jour), crédité de multiples récompenses largement méritées (trois Brit, un Grammy, un Ivor Novello, etc.). Et Well, well, well sonnait le come-back de cette voix nasillarde et anachronique tellement addictive...
Dans la foulée, c'est le single-titre de l'album Endlessly à paraître le 29 novembre qu'on découvrait : une ballade tendrissime qui a le goût intense de la soul la plus voluptueuse et câline des sixties. C'est simple : s'il fallait rapprocher Endlessly d'un de ces standards voluptueux, ce serait tout bonnement At Last, merveille interprétée par une Etta James à la voix délicieusement alanguie.
D'allumeuse malicieuse à bonbon sentimental, Duffy est capable de tout, et elle vient de le prouver en dévoilant les titres de son nouvel album en live dans Live@Home, le programme musical le plus regardé du web.
Well, well, well, Keeping my baby, Endlessly, My Boy, Lovestruc, Too Hurt to dance, Don't forsake me ou encore son "ancien" hit Mercy, en mode "passons au salon je vous prie", c'est à découvrir ci-dessus et à revoir à la télévision sur Direct Star (le 6 décembre à 22h35, le 9 décembre à 12h).