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Au cinéma, il était le touchant Jacques dans Mes héros aux côtés de son amie Josiane Balasko, au théâtre, il est le François Pignon de Francis Veber dans Cher Trésor. Gérard Jugnot multiplie les personnages, mais en interview, il redevient l'homme franc qui revient sur tous les sujets avec sincérité. En interview pour TV Mag, il parle de la télévision, des Enfoirés ou encore des Bronzés.
Douce comédie dramatique, Mes héros raconte l'histoire de Maxime qui se retrouve à passer un week-end avec ses parents et se rappellera que la vie peut aussi être envisagée comme une suite de petits bonheurs. Un film que Gérard Jugnot décrit comme un conte : "Certains n'ont pas aimé le film car ils l'ont trouvé trop beau, trop humain. C'est le rôle du cinéma d'enjoliver la vie. Si l'on veut voir la vie immonde comme elle l'est, il suffit de regarder les infos à la télé." Ce film a été par ailleurs l'occasion de retrouvailles entre Jugnot et Balasko dans un film qui parle des expulsions de sans-papiers : "Je ne suis pas aussi engagé que Josiane sur le sujet. Elle réagit en fonction de sa propre histoire, et je respecte cela."
Gérard Jugnot est néanmoins aussi investi pour de nobles causes, mais il ne veut pas faire la pub de ses engagements : "On ne peut pas mettre son poids dans toutes les batailles ; donc il faut aller vers celles qui vous tiennent à coeur. Et on ne peut pas passer sa vie à être indigné ; il faut être positif." Il revient plus précisément sur Les Enfoirés : "Je ne pense pas que les 13 millions de téléspectateurs des Enfoirés regardent ce programme en pensant faire une bonne action. Ils voient un excellent programme de variétés. Sur Les Enfoirés, on joint l'utile à l'agréable."
Avec humour, il reviendra sur l'échec de sa dernière réalisation pour le cinéma, Rose et Noir, en le qualifiant avec humour "d'immense succès", glissera que sa compagne, Saïda Jawad, fait des choses admirables à la télévision - dernièrement Tout est bon dans le cochon -, et parlera de l'idée d'un Bronzés 4 : "Je crois que nous sommes allés au bout. Nos envies et emplois du temps nous éloignent. Il n'est pas facile de trouver la disponibilité pour se mettre tous, au même moment, autour d'une table pour écrire. Christian [Clavier] nous a parlé d'une pièce à adapter. C'est une discussion que nous avons. Trouver une pièce ou un scénario à adapter nous correspondrait davantage." Des projets, mais aussi du temps libre pour se consacrer à son petit-fils qui vient d'arriver, son fils Arthur Jugnot et sa compagne Cécilia Cara étant devenus parents.
Douce comédie dramatique, Mes héros raconte l'histoire de Maxime qui se retrouve à passer un week-end avec ses parents et se rappellera que la vie peut aussi être envisagée comme une suite de petits bonheurs. Un film que Gérard Jugnot décrit comme un conte : "Certains n'ont pas aimé le film car ils l'ont trouvé trop beau, trop humain. C'est le rôle du cinéma d'enjoliver la vie. Si l'on veut voir la vie immonde comme elle l'est, il suffit de regarder les infos à la télé." Ce film a été par ailleurs l'occasion de retrouvailles entre Jugnot et Balasko dans un film qui parle des expulsions de sans-papiers : "Je ne suis pas aussi engagé que Josiane sur le sujet. Elle réagit en fonction de sa propre histoire, et je respecte cela."
Gérard Jugnot est néanmoins aussi investi pour de nobles causes, mais il ne veut pas faire la pub de ses engagements : "On ne peut pas mettre son poids dans toutes les batailles ; donc il faut aller vers celles qui vous tiennent à coeur. Et on ne peut pas passer sa vie à être indigné ; il faut être positif." Il revient plus précisément sur Les Enfoirés : "Je ne pense pas que les 13 millions de téléspectateurs des Enfoirés regardent ce programme en pensant faire une bonne action. Ils voient un excellent programme de variétés. Sur Les Enfoirés, on joint l'utile à l'agréable."
Avec humour, il reviendra sur l'échec de sa dernière réalisation pour le cinéma, Rose et Noir, en le qualifiant avec humour "d'immense succès", glissera que sa compagne, Saïda Jawad, fait des choses admirables à la télévision - dernièrement Tout est bon dans le cochon -, et parlera de l'idée d'un Bronzés 4 : "Je crois que nous sommes allés au bout. Nos envies et emplois du temps nous éloignent. Il n'est pas facile de trouver la disponibilité pour se mettre tous, au même moment, autour d'une table pour écrire. Christian [Clavier] nous a parlé d'une pièce à adapter. C'est une discussion que nous avons. Trouver une pièce ou un scénario à adapter nous correspondrait davantage." Des projets, mais aussi du temps libre pour se consacrer à son petit-fils qui vient d'arriver, son fils Arthur Jugnot et sa compagne Cécilia Cara étant devenus parents.