Mais que devient Gustave Parking ? C'est la question que se posent les fans de l'humoriste de 66 ans depuis plusieurs années. Et pour cause, Pierre-Casimir Le Bras de son vrai nom se fait particulièrement discret depuis quelques temps maintenant.
Cependant, il a notamment accordé une interview cette année au magazine Culture Nautique. En effet, l'humoriste est également un immense passionné de bateau et de la mer, et passe son temps à bord de son navire près de la Guadeloupe. "Je voyage sur l'eau pour voir des choses et des endroits. Le paysage, c'est la première chose qu'on aperçoit en arrivant sur une côte. Puis vient le site, le vent, l'état de la mer. Et les autres, toutes celles et tous ceux qu'on va côtoyer sur ce site, avec qui on partagera parfois juste un regard, d'autres fois des soirées entières", expliquait-il au cours de cet entretien.
Et de poursuivre : "Sur scène, je suis dans un état second. C'est en mer que je retrouve cette sensation. Quand tu es capitaine de ton bateau, tu es le centre de l'attention, tous les gens t'écoutent. C'est exactement la même chose sur scène, tout le monde t'écoute."
La mer, c'est le plus grand pays du monde
"Sur un bateau, je suis capitaine. Partiellement handicapé, je donne des ordres à mes amis devenus équipiers", développait-il. De quoi relancer les inquiétudes sur l'état de santé de Gustave Parking, atteint d'hémochromatose depuis 2001, comme il l'expliquait déjà en 2013, soit douze ans après avoir été diagnostiqué de cette maladie peu commune. Cette maladie augmente le niveau de fer de son corps et il doit se soigner par des saignées régulières, seul moyen efficace de faire redescendre le taux de fer présent dans son organisme.
Une maladie qui ne l'empêche ni de continuer à performer sur scène, ni d'être tout simplement heureux. "La mer, c'est le plus grand pays du monde. Elle change tout le temps et en permanence. Quand je pars, même au large, je me sens à la maison. Je me sens libre. Je peux me mettre au loin et partir. Ce que j'aime avant tout, sur la mer, c'est la capacité de liberté plus que la liberté en elle-même", expliquait-il.