Le danseur qui voyage en France, à Los Angeles et Toronto pour son travail a peu de temps dans l'année pour voir ses proches. Les vacances sont donc pour lui l'occasion de profiter pleinement de sa famille. Cet été, il a donc passé des jours heureux avec sa douce France, leur fils Jean-Francis (19 ans) et leurs fille Francesca (15 ans), atteinte du syndrome de Rett, au parc d'attraction La Ronde, sur l'île Sainte Hélène (Québec). "Nous nous sommes baladés au vieux port de Montréal, et amusés au Parc aquatique Calypso d'Ottawa... On s'est longuement baignés dans la piscine de la maison, et j'ai emmené ma fille, Francesca, manger des glaces au Chocolats Favoris. Voir ses yeux rieurs dans les manèges nous remplit de joie, ma femme et moi", se souvient-il avec émotion pour Paris Match.
Souvent éloigné de sa fille, atteinte d'une maladie dégénérative neurologique - l'adolescente ne peut ni vraiment se mouvoir, ni parler, ni communiquer avec les autres - Jean-Marc Généreux lui rend souvent hommage lorsqu'il est à l'étranger. Mais passer des moments avec elle est de loin son bonheur le plus précieux.
Les vacances d'été ont depuis longtemps une saveur toute particulière pour le juré de DALS puisque c'est durant cette période douce et de repos que le danseur a rencontré celle qui est devenue sa femme. Un moment gravé dans sa mémoire comme s'il s'agissait d'hier alors qu'il n'était âgé que de 9 ans à l'époque. "J'ai vu France Mousseau pour la première fois quand je raccompagnais ma petite amie chez elle. Je ne l'ai aperçue que trois secondes. Elle m'a salué et ça a changé ma vie. Ma vie en était déjà chamboulée. J'ai passé tout l'été à rêver d'elle, car elle était partie tout l'été à la campagne. C'est par un curieux hasard que le destin nous a réunis en septembre de la même année..." explique-t-il.
Pourtant, un été a été particulièrement meurtrier pour Jean-marc Généreux : celui où il a perdu sa mère. En voyage à Orlando avec toute sa famille, le Canadien a appris qu'elle avait été hospitalisée et qu'il ne lui restait que quelques jours à vivre. "Sans hésiter, nous nous sommes empressés de rebrousser chemin. Elle s'est éteinte quelques jours plus tard mais nous avons eu la chance de revenir à Montréal et de lui dire au revoir de vive voix", confie-t-il.